1. Une famille sexuellement débridée (8)


    Datte: 19/04/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... pour m’envelopper encore de délice. Le facteur, enfin, donnait les signes précurseurs d’une jouissance imminente. Il se retira à temps et vint éjaculer sur le sexe de Steph qui se recula pour y échapper, sans y parvenir totalement. Des larmes de sperme échouèrent sur les bourses et les cuisses. Je m’empressai d’aller les récupérer avant de m’intéresser à la grosse queue black que le propriétaire agitait nonchalamment comme une invitation à venir la nettoyer. Je ne m’y mépris pas et récurai le bout de fond en comble. — Putain, s’il est aussi salope que sa mère, ce petit gaillard-là, on va s’amuser plus souvent. Tu prends la bite au cul ? — Pas encore fait ! — Ah bon ? Avec ton pote là, c’est que des léchouilles... vous allez pas me faire croire ça ! — C’est la première fois. — T’aimerais que je t’encule, une fois toi, une fois ta mère... si t’es puceau, ça doit être bien serré. — A voir... — Bon, ben c’est pas le tout... faut que je finisse ma tournée... — Ouais, faut que j’y aille aussi. Le facteur, avant de sortir, demanda à revenir le lendemain. — Tu sais bien que je bosse... — Merde ! Une autre fois alors. — Dès qu’on peut ! Quant à mon pote, il se contenta de me dire : — On se voit demain. Ils avaient à peine quitté la chambre que maman s’allongea sur le lit et se mit à se caresser la chatte. — Ils ne m’ont même pas brouté le minou... t’as pas joui mon Tonio. Tu viens ? Effectivement, ma queue souffrait encore d’une tension qui se prolongeait. Il fallait que je me ...
    ... soulage. Je m’agenouillai donc au bord du lit et enfouis ma tête entre les jambes maternelles. Très vite, j’eus le visage mouillé. Elle jouissait et la cyprine se répandait abondamment. — Enfile-moi ta bite, enfile-moi ta bite ! — Mets-toi à quatre pattes. Cambre ton gros cul. J’veux bien voir la raie ! Je la pris par-derrière car, bizarrement, il m’était plus difficile de m’allonger sur elle. Sans doute, en levrette, oubliais-je davantage qu’elle était ma mère. Ainsi positionné, je pouvais lui attraper les seins, les pétrir, tout en chauffant la raie à grands coups de bite. — T’aimes ça la queue, hein, t’aimes ça ! — Vas-y, c’est bon... tringle-moi ! — J’vais te faire jouir grosse pute ! — Oh oui, vas-y... hmmm... pince-moi les tétons ! — Comme ça, hein ? — Plus fort, plus fort... ouiiiiii — J’vais te remplir la chatte comme jamais t’as eu ! — Non pas la chatte... sur les seins, sur les seins. — OK salope, j’vais t’arroser tes grosses loches. Mais il me fallut encore quelques minutes pour parvenir à l’orgasme. Comme promis je me retirai à temps pour éjaculer sur ses grosses mamelles. Pendant que je jutai, elle tint collés ses seins l’un contre l’autre en disant. — Du sperme, j’veux du sperme... Quand enfin mes couilles furent vides, elle se caressa les nichons pour bien étaler le jus dessus. — C’est bon pour la peau, dit-elle. Puis elle se lécha les doigts. — Tu restes ici la journée chérie ? — Ben oui, y a pas cours. — Chic on va pouvoir remettre ça pour le café ! A suivre 
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