Une famille sexuellement débridée (8)
Datte: 19/04/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... libérant totalement ses jambes. Accroché aux hanches, mon meilleur ami déboîtait ma mère en murmurant : — Elle est bonne, elle est bonne... Le noir appuyait bien sur la tête pour se faire sucer bien à fond. Je n’y tenais plus. J’avais sorti ma verge. Je me pignolais. — Suivez-moi dit maman en se redressant. Elle les conduisit jusqu’à la chambre. — Prenez-moi en double mes chéris ! — Comme avec André, dit Théophane ? — Non, dans le trou que tu veux. — Alors je veux bien te prendre dans le cul pour une fois qu’il est libre. Ma mère s’allongea donc sur mon copain, glissa sur sa queue qui disparut dans la moule jusqu’aux couilles. Le facteur posa ses grosses pattes sur les globes fessiers, les écarta commença à forcer la rondelle. Les bras de Stéphane se refermèrent sur le corps de maman. — Aaaah, aaaah, ouiiii c’est bon... allez-y les gars... fourrez-moi vos queues... elles sont bonnes... bougez, bougez... ramone-moi Théo, ramone-moi ! Le gars se déhanchait pourtant et pilonnait comme un forcené. Les chairs de ma mère claquaient sous le choc. dbpdzzel — J’vais juter, j’vais juter... hurla Stéphane. — Retiens-toi, retiens-toi encore... — Je viens, putain, je viens... Rhooooooo... Quand ses spasmes cessèrent tout à fait, le facteur se dégagea. Maman se leva. Un filet blanc s’échappait de son con. Théophane la poussa sur le lit, l’attrapa par les cuisses pour l’amener vers lui en la forçant à relever le derrière et debout derrière elle agenouillée sur le lit, il enfila le con ...
... foutreux. Mon pote était étendu à côté d’eux, bras et jambes écartées, la main droite tendue vers les seins de ma mère qui la frôlaient en oscillant sous les coups de queue. Le paquet reposait dans sa belle toison, le prépuce avait retrouvé sa place mais la tige luisait encore de foutre et de cyprine. Les couilles rougies par l’effort formaient une belle petite masse compacte sur le poil des cuisses musclées. J’eus envie de tout gober. Je m’approchai en craignant qu’il referme ses jambes quand, sous le poids de mon corps, le matelas se creuserait en ses jambes. Mais il ne bougea pas. Ma tête était maintenant au-dessus de son sexe. Il ne pouvait pas se méprendre sur mes intentions mais j’hésitai encore. Je détournai un instant mon regard de ses bijoux de famille qui m’attiraient tant pour voir ce qu’il faisait. Il caressait le bout des seins maternels tout en fixant le couple emboîté. Je descendis alors vers sa queue. Mon nez la touchait presque. Il devait sentir mon souffle sur ses bourses d’où montait une odeur de mâle qui me fit chavirer. Document, tout doucement, j’effleurai ses testicules du bout de la langue. Il laissa faire. Alors, j’y allais plus franchement. Il écarta les jambes. Je léchai les couilles et la queue puis les avalai alternativement. C’était bon. Je m’astiquais le manche. J’eus envie de l’embrasser alors je me dressai sur mes bars et me rapprochai de son visage pour saisir ses lèvres. — Pas de ça ! Dit-il d’un ton sec. Je retournai donc vers son bas-ventre ...