Le plus beau jour de ma vie (1)
Datte: 22/08/2017,
Catégories:
Hétéro
... à Manu. Maman et moi avons trouvé de jolies petites tenues : celles-là seront réservées à la vie privée. Nous allons au restaurant ; nous goûtons les spécialités, nous nous régalons, puis nous reprenons la route en direction du camping. Manu et moi sommes installés à l’arrière de la voiture. Jean-Mi, au lieu de poser sa main sur le levier de vitesses comme à l’habitude, l’a visiblement placée plus loin. Nous somme à peine partis que Manu m’a quasiment déshabillée ; la robe à pressions n’a pas résisté, elle est grande ouverte. Manu me caresse partout. Je le touche : il est terriblement excité. Discrètement je lui ôte son short : il n’a rien en dessous. Cette découverte m’enflamme le ventre ! J’ouvre sa chemisette ; nous sommes presque nus. Maman tourne la tête, me regarde et comprend. Elle se penche vers Jean-Mi et augmente le volume de l’autoradio. « Merci, maman ! » me dis-je. L’éclairage public me permet de deviner qu’à l’avant de la voiture il est en train de se passer quelque chose ; peu importe… Je continue l’effeuillage de Manu, et nous finissons complètement nus. Nos échanges de bisous reprennent, des plus doux aux plus fougueux, accompagnés de caresses d’une douceur exquise. Quelquefois d’une violence inouïe aussi ; enfin, pour moi qui suis un peu douillette. On s’amuse à se pincer les tétons : le premier qui lâche a un gage. Je gagne parfois car j’ai une ruse : quand je sens que je commence à avoir trop mal, je lui plante mes ongles dans les bouts, et là, il ...
... lâche. Une fois il a tenu, et pour le coup j’ai eu mal aux tétons pendant trois jours ; tant pis pour moi. nrmniiut Ce soir, je vais être douce et câline. Je vais même essayer un truc qu’on a vu sur Internet : je le bisouille, lui suçote les tétons, lui lèche le sexe, l’embouche au plus profond ; il touche le fond de ma gorge, ce qui me provoque un haut-le-cœur. Je bave… Alors, à tâtons, je récupère sa chemisette pour essuyer : pas grave. Je suis mal installée, en partie sur le côté ; la position n’est pas géniale. J’insiste. Sa main me parcourt tout le corps. Je le reprends en bouche ; le va-et-vient est lent et appliqué. Son gland touche à nouveau le fond de ma gorge ; je prends une grande inspiration et je force. Je me force à avaler ; le gland progresse. Je fais une pause. Je retourne vers sa bouche et l’embrasse goulûment. Il me palpe les seins, en titille les bouts. Je l’écarte et retourne à ma besogne ; je vais y arriver. « Têtue comme une mule ! » me disent parfois maman ou mamie. J’embouche la chose, inspire, force. Il rentre ; je le sens pénétrer dans ma gorge. Je le masturbe à la base ; il se tend et éjacule dans mon œsophage. Son liquide chaud descend en moi, puis je fais ressortir cet intrus qui normalement n’a rien à faire là, mais c’est moi qui suis allé le chercher. Je suis au bord de l’orgasme… Je détache ma ceinture. « Ce n’est pas bien, Julie… » me dit ma conscience en colère… Vite, je me mets à califourchon sur lui. Pas de préliminaires, il y a urgence ! Je ...