1. Le Dauphin


    Datte: 21/04/2019, Catégories: fh, vengeance, Masturbation Oral pénétratio, fdanus, fsodo, portrait,

    ... d’oublier un peu la délicatesse. Il se met à la bourrer à grands coups de reins. La mignonne suit le nouveau rythme sans murmurer, bien qu’elle soit secouée d’abondance et que ses seins ballottent en tous sens. La rudesse de l’engagement ne l’effarouche pas, au contraire, car elle sent la volupté monter en elle. Par deux fois elle prend son pied avant que le Dauphin ne se répande sur ses reins. Elle se sent épuisée et n’est pas mécontente que cela cesse. Une fois dans le lit, son endormissement est prompt. Le lendemain matin son vagin est encore un peu échauffé. Lorsque le Prince l’entreprend, bien que ne voulant pas le rabrouer, elle lui dit presque timidement : — Que Monseigneur me pardonne. Je suis encore dolente de la soirée. Après un silence elle ajoute : — Surtout certaines parties de mon anatomie que Monseigneur a moult honorées.— Il est vrai que pour une première, je vous ai un peu secouée.— Monseigneur ne m’a pas rudoyée. J’ai trouvé agrément à ce qu’il me faisait. La nouveauté et le défaut de pratique doivent expliquer ma lassitude. En opérant régulièrement, cela ne devrait plus survenir. Louis constate que la jouvencelle, vient clairement de lui déclarer qu’elle est toute prête, une fois reposée, à approfondir son expérience au déduit. Il la laisse donc reprendre haleine, lui octroyant, comme à Elizabeth, la journée de repos. En la quittant, il se demande quand Ann forte de l’exemple de ses compagnes viendra proposer ses services. Réflexion faite, il se dit que ...
    ... plutôt que « quand », il doit penser « si », même s’il est convaincu que la chose est quasi écrite. Au départ Elizabeth a manifesté une certaine humeur à ce que Victoria, ait à son exemple proposé un service intime au Dauphin. Puis en y réfléchissant, elle se dit que cela ne change rien à sa situation, et que cela présente même l’intérêt de ne pas être la seule à se dévergonder. Que le jour où elles retourneront dans leur pays, il faut mieux que toutes trois soient logées à la même enseigne pour éviter des bavardages, qui nuiraient à sa réputation. Elizabeth convainc Victoria qu’il serait souhaitable qu’Ann les rejoigne dans leur licence, cela les mettant toutes trois sur un pied d’égalité. Les jours passent. Une sorte de routine s’installe. Les deux glaisanes vont se faire baiser leur jour de service et profitent le lendemain d’un repos gagné à la sueur de leur con. Ann quant à elle, reste sur la réserve, bien que ses deux compagnes la poussent à les imiter en lui vantant les avantages et les plaisirs qu’elles retirent des parties de bête à deux dos leur soir de service. Cette réticence finit par agacer ses compagnes. Elles le ressentent comme une provocation et la pressent de plus en plus. Voyant qu’elle ne se décide pas et pensant que cela n’est que pudeur mal placée, effarouchement irraisonné, ou timidité, elles décident de pousser à la manœuvre. Elles laissent entendre au Prince qu’Ann n’ose manifester l’attrait qu’elle aurait à lui plaire. Louis ne songe à douter des ...
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