1. Le Dauphin


    Datte: 21/04/2019, Catégories: fh, vengeance, Masturbation Oral pénétratio, fdanus, fsodo, portrait,

    ... assertions de ses deux maîtresses, tant il est convaincu qu’Ann suivra les traces de ses compagnes un soir qu’icelle est de service, il pense l’aider en se montrant entreprenant. Il commence par lui effleurer la main ou le poignet à plusieurs reprises pendant le service. Elle n’y prête guère attention, ce sont genre de choses qui peuvent arriver. Voyant que cela ne la détermine pas, comme elle remplit son verre, il lui prend la main et l’attire vers lui. Surprise, elle n’ose trop résister. Quand il l’incite à venir sur ses genoux, elle s’alarme, mais garde suffisamment d’entendement pour dégager sans brusquerie sa main. Louis est surpris : — Approchez, je ne vous veux nul mal. Vos compagnes n’ont rien enduré de malplaisant.— Je ne doute aucunement que Monseigneur, ne me veuille faire souffrir. Elizabeth et Victoria m’ont moult fait savoir le plaisir qu’elles ont à la compagnie de Votre Altesse Royale. Je ne voudrais pas accaparer plus Monseigneur qu’il ne l’est. Le doute, s’insinue dans l’esprit du Dauphin, cette demoiselle ne préférerait-elle pas rester sur la réserve : — Vous pouvez approcher sans crainte, je ne vous brusquerai pas, vos compagnes m’ont éclairé sur votre inquiétude à franchir le pas. La jeune fille entendant cela rougit, nullement de gêne, mais de colère. D’un ton où perce l’irritation : — Qu’ont-elles dit ? Louis se rend compte de l’état d’esprit de son interlocutrice. Il lui explique ce que Victoria et Elizabeth ont plus que suggéré quant à son désir de ...
    ... nouer avec lui les relations qu’elles-mêmes entretiennent, sa timidité la retenant. — C’est menterie ! s’écrie Ann indignée. Puis se radoucissant pour ne pas désobliger son interlocuteur : — Ce n’est pas que Monseigneur me déplaise, mais… Louis l’interrompt : — Vous n’avez aucunement à vous justifier. Ici vous disposez de votre personne à votre convenance. En la matière vous ne serez jamais contrainte. Je vous prie d’excuser mon attitude déplacée à votre égard.— Monseigneur, je n’ai aucun ressentiment à votre égard. Vous avez été circonvenu, par les propos de mes compagnes qui ont mal interprété mes intentions.— Croyez-vous vraiment qu’elles vous aient mal compris ?— Pourquoi auraient-elles… ?— Je pense qu’au fond d’elle, elles sont plutôt quinaudes de leurs prouesses. De voir que vous ne dévoyez pas comme elles, les mettent en porte-à-faux avec elles même. Elles ne vous le pardonnent pas. Elles veulent jouir de leurs avantages sans se sentir embarrassées.— Ce n’est pas possible.— Mademoiselle, ouvrez les yeux. Elizabeth s’est posé une question : « Que puis-je faire pour me soustraire aux obligations qui me sont imposées ? ». Obligations qu’elle juge indignes d’elle. Elle a fini par trouver une réponse à ce problème : m’aguicher, sûre qu’alors tout allait s’améliorer pour elle. Elle a dû éprouver une certaine déception, quand après avoir usé de ses charmes, elle ne bénéficie que d’une journée d’interruption en l’ouvrage qui lui est demandé et des repas servis. Ces avantages ...
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