1. Le Dauphin


    Datte: 21/04/2019, Catégories: fh, vengeance, Masturbation Oral pénétratio, fdanus, fsodo, portrait,

    ... Silence » sonore. De surprise, elles se taisent. — Merci, Mesdemoiselles. L’intendante est occupée et m’a chargé de vous donner le programme de vos activités. À 7 heures, collation prise, vous retrouverez Madame Lavenet, que voici, à l’office. Elle vous distribuera vos tâches de la journée. Vous vous organiserez comme il vous plaira, mais entre 4 et 6 heures de l’après-midi vous devez rejoindre le professeur qui vous enseignera. Elles le regardent médusées. Elizabeth demande : — Que voulez-vous dire par tâches de la journée ?— Les travaux que vous aurez à accomplir dans la journée.— Quel genre de travaux ?— Du genre de ceux que nécessite l’entretien d’une maison.— Vous déraisonnez, c’est occupation de domestiques.— Vous ne croyez pas que l’on va vous entretenir à ne rien faire.— Nos pères paieront pension.— Vos pères sont loin et vous êtes là.— C’est hors de question. L’homme se contente de les saluer et se retire accompagné de madame Lavenet. Elizabeth veut le retenir, Ann l’en empêche en lui disant : — C’est inutile, ce domestique a reçu des ordres auxquels il ne dérogera point. Une bonne apparaît : — Je dois vous conduire à votre chambre, veuillez me suivre. Elles parcourent des couloirs, montent des escaliers et se retrouvent devant une porte. — C’est là, annonce leur guide qui part sans plus attendre. Victoria ouvre la porte. Elles pénètrent dans une pièce d’environ trois toises sur deux, contenant trois lits, trois coffres, une chaise, une table sur laquelle sont ...
    ... posés un broc et une cuvette, un petit miroir et un chandelier. Tandis qu’Elizabeth et Victoria vitupèrent sur la manière dont elles sont traitées, Ann ouvre les coffres, trouve celui qui contient des vêtements à sa taille, s’approche du lit auquel il est accolé, étale le matelas qui était roulé et entreprend de faire son lit en disant : — Vous, je ne sais, mais moi je suis fatiguée. J’ai besoin d’une bonne nuit de sommeil. Demain il sera temps de réfléchir à ce que nous devons faire. Tout en maugréant, ses compagnes finissent par l’imiter. Le lendemain matin sur les 9 heures, les glaisanes après s’être un peu perdues, bien que le château ne soit pas immense, rejoignent l’office. Il est vide. Elles trouvent quelqu’un qui les dirige vers madame Lavenet. Celle-ci les accueille d’un : — Vous êtes en retard. Suivez-moi. Elle les emmène dans une pièce : — Cette chambre doit être nettoyée entièrement, les tentures et les tapis dépoussiérés, les chandeliers astiqués et les carreaux propres. Les demoiselles s’insurgent et partent en claquant la porte. Elles vont s’installer dans un salon où elles s’indignent en cœur. Personne ne vient les chercher et les gens qui passent les ignorent. L’heure avançant, elles commencent à avoir un petit creux. Elles se mettent en quête des cuisines, qu’elles finissent par les trouver, mais on refuse de les servir. Elles font un esclandre. L’intendante est quérie. Quand elle arrive, les récriminations quant au sort qui leur est réservé reprennent de plus ...
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