1. Les petits petons virtuose


    Datte: 22/06/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... présenter à leurs collègues un homme à fois nu et bandant, afin de procéder à l’interrogatoire. C’est à ce moment que j’ai appris qu’elles s’appelaient Éponine et Azelma, comme dans les Misérables de Victor Hugo, et j’avais bien compris bien qu’elles avaient décidé de faire de moi leur Cosette, le truc entre les jambes en plus.Elles ont imaginé, dans leur esprit tordu, que je trempais dans je ne sais quelle affaire fortement illégale, voire criminelle, et tenaient absolument à me faire avouer. Pour cela, elles ont imaginé le pire supplice qu’il soit possible d’infliger à un gardé à vue dans un commissariat, à côté duquel l’idée de broyer les testicules entres les mâchoires d’un étau n’est qu’une aimable plaisanterie (pour autant, ne faites pas ça chez vous, Mesdames) : elles m’ont obligé à lécher leurs pieds après avoir retiré leurs grosses chaussettes et leurs horribles rangers si peu féminines, vêtements qui avaient recouverts leurs extrémités inférieures toute la journée ! Elles ne se lavaient pour ainsi dire jamais, ce qui leur conférait à leurs petons tout gluants de moiteurs des fragrances qui faisaient à la fois mon asphyxie, autant que les gazés d’Ypres pendant la Grande Guerre, que mon paradis, car on connait ma passion spéciale pour cette partie du corps des femmes. J’étais servi !Âmes sensibles, s’abstenir de lire ce texte plus avant. Amies lectrices, si vous trouvez ce qui suit dégoûtant, surtout n’hésitez pas à m’envoyer vos commentaires câlinement orduriers ...
    ... : je les lirai avec délectation, et m’en inspirerai pour les prochains épisodes. Vous voilà donc prévenus.Comme, bien entendu, quoiqu’horriblement (mais si délicieusement !) tourmenté, je n’avouais rien, puisque j’avais beau être le dernier des obsédés sexuels, j’étais absolument innocent des crimes dont on m’accusait, elles ont décidé de passer à la vitesse supérieure. Éponine était celle qui avait ses règles ; elle abaissa le treillis et la culotte le temps que sa collègue, qui avait de tout petits pieds, vienne les fourrer un à un à l’intérieur de la gaine vaginale dépourvue de tampon, puis les extraie tout enduits d’humeurs sanguinolentes qui venait s’ajouter à la transpiration. Elles m’ont aboyé l’ordre de sucer tout ce suc, jusqu’à l’ultime goutte. Puis elles ont recommencé. C’était un repas de roi.Elles étaient quand même dépitées de constater que j’étais content de subir tout cela, alors que j’aurais dû leur supplier à genoux de cesser cette barbarie. Ce que j’ai fait quand même, mais c’était pour la forme, d’autant que des collègues, toutes féminines, de mes deux « tortionnaires » nous regardaient avec grand intérêt ; leur chef, une petite blonde avec de longues nattes et de gros galons blancs bien alignés sur les épaules, assise dans son profond fauteuil en cuir, se branlait en contemplant la scène en s’enfonçant un godemiché dans la chatte et en couinant comme une girafe dentaire au moment de l’orgasme. C’était le capitaine Ténardier, célèbre pour sa férocité à ...
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