1. Les petits petons virtuose


    Datte: 22/06/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... obscènes que les matonnes chargées de la censure lisaient aussi, en se masturbant, tant nos phrases étaient désespérément torrides. Elle m’envoyait aussi des dessins de ses pieds, très réalistes, et je mouillais le papier de mon sperme.Afin d’obtenir la remise de peine maximum pour bonne conduite, elle a forniqué avec le directeur de la prison, vite fait dans son bureau entre deux rendez-vous, et aussi certaines matonnes lesbiennes avec lesquelles elle n’était pas farouche, jusqu’à participer à de folles orgies où elles se suçaient la chatte avec délices.Il y avait aussi une cellule où ses trois codétenues partageaient sa passion pour les pieds féminins. Ensemble, elles oubliaient les rigueurs de la détention dans des nuits câlines où elles se grignotaient mutuellement les petons, avec des massages à l’huile d’argan que le directeur leur fournissait gratuitement, car il les observait grâce à des caméras de vidéosurveillance placées aux quatre coins de la geôle. Les images arrivaient directement sur l’écran de son ordinateur, dans son bureau fermé, et bien-sûr il se branlait à plein temps, à la vue de ces déesses aux merveilleux petons, qui en outre, disposaient dans leur cachot – le plus confortable de toute la prison – de toute une collection de jouets sexuels dont les quatre captives usaient et abusaient.Dans ses lettres et au cours de mes visites, elle me décrivait tout cela dans les moindres détails, et cela m’excitait tant que j’en devenais fou. En tant que détenue ...
    ... privilégiée, elle avait droit au parloir où nous n’étions séparés par aucune vitre et laissés seuls ; cependant, toute relation sexuelle nous était formellement interdite, et la porte vitrée permettait de nous surveiller. Nous avions une heure et nous étions chacun assis sur une chaise, avec une petite table entre nous deux.Après que nous nous étions racontés les péripéties de notre semaine, elle enlevait ses chaussures et j’abaissais ma braguette pour sortir discrètement mon phallus qu’elle me caressait discrètement de ses orteils si merveilleusement agiles que je ne tardais pas à les arroser de mes sept jours d’abstinence, en serrant les dents pour ne pas crier de plaisir.Mais un jour, nous nous sommes faits prendre par une matonne plus soupçonneuse que les autres qui a découvert notre petit manège. Pour la punir, ma douce amie a été attachée nue au milieu de la cour, suspendue à un portique d’une manière très inconfortable, et toutes les gardiennes et toutes les détenues sont venues lui chatouiller les pieds ; on leur fournissait de longues plumes pour augmenter l’intensité de son calvaire. Pour ne pas être reste et accompagner ma belle, j’ai demandé à subir le même châtiment, en même temps, ce que le directeur a accepté. C’était un spectacle terrible ; Coralie est venue y assister, en tant que visiteuse, et elle m’a dit avoir trouvé que nous étions un couple très excitant, au point qu’elle a voulu subir la même chose. Elle s’est déshabillée devant tout le monde et s’est ...
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