1. Comment le jardinier est devenu "le défricheur.3


    Datte: 22/08/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    Ou comment le jardinier est devenu le « défricheur ». 3 Les femmes sont toutes les mêmes, même les nonnes ! Comme une traînée de poudre, l’information est passée de bouches de novice à oreilles de novice. 2 jours plus tard, j’eu droit à une visite nocturne dans mon logis. Henriette et Madeleine, 2 autres novices entrèrent subrepticement dans mon réduit. J’étais torse-nu attablé devant une misérable soupe. -On vous apporte votre dîner, Sœur Marie nous a demandé de s’occuper de vous. Suite à votre malaise, il faut se nourrir abondamment. (Ça me changera de mon ordinaire si peu ragoûtant). Je mangeais avec appétit mais elles ne semblaient pas avoir envie de partir. Sœur Henriette n’y alla pas par 4 chemins et me tutoya aussitôt: -Sœur Marie nous a tellement vanté tes exploits que nous voulons voir pour y croire comme Saint Thomas. Et je veux montrer à Madeleine qu’il ne faut pas laisser passer une occasion de se divertir au couvent. Elles me poussèrent sur le lit et me retirèrent prestement mon pantalon, je me laissai faire. Sœur Henriette, la plus délurée, n’avait d’yeux que pour mon entrejambe ou une bosse gonflait mon sous-vêtement. - Hum Prometteur, commenta-t-elle. Attends je vais libérer cette pauvre chose! Lentement, elle glissa une main dans mon slip, et je sentis ses doigts se refermer sur mon membre. - Ma sœur, que voulez-vous faire ? Est-ce bien raisonnable ?! Elle évaluait la marchandise avec ses doigts qui me trituraient, me caressaient. Au bout d’un moment, le ...
    ... bout de tissu était déformé par l’ampleur prise par mon rostre. - Que tu es gros, s’extasia-t-elle, d’une voix assourdie. Je veux l’admirer !!! Elle dégagea de sa gangue de tissu ma bite qui continua à prendre ses aises une fois libérée, se déployant avec arrogance. Sœur Henriette demanda un peu de renfort à sœur Madeleine. -Aide-moi à lui retirer son cache-sexe… Santa-Maria ! Marie n’a pas exagéré !!!Tu as une vraie queue d’âne !… Charmée par sa découverte, sœur Henriette sans aucune gêne, fit passer au dessus de sa tête sa tunique, se montrant totalement nue devant mes yeux exorbités. Elle avait une poitrine généreuse, des seins lourds aux mamelons proéminents au centre de larges aréoles. -A-toi Madeleine, prend sur toi, tu verras que ce n’est pas si difficile ! Elle hésitait tellement que c’est Henriette qui se chargea de lui retirer sa tunique. Je détaillais ce nouveau corps. Il était très bien proportionné, Madeleine était très belle, plus jeune. De son corps émanait l’invite à l’amour, une poitrine magnifique, des yeux au reflet d’or, une bouche aux lèvres charnues et sensuelles que l’on voudrait dévorer. Sœur Henriette revint très vite à sa préoccupation première, ma queue !!! Elle caressait mon membre, en épousant tous les creux et les bosses de mon excroissance qu’elle ne quittait plus des yeux. -Sœur Madeleine, ne sois pas si timide, il y a largement la place sur cette majestueuse flamberge pour que tu m’aides dans ma besogne ! Sœur Madeleine agrippa avec un peu ...
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