Comment le jardinier est devenu "le défricheur.3
Datte: 22/08/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... d’appréhension ma queue qui continuait à grossir que j’en avais presque mal. Sœur Henriette me branlait, entraînant la main de sa voisine dans le mouvement. Je grimaçais de plaisir, perturbé par cette branlette double. Ma bite avait pris des proportions énormes et mon gland, gonflé à bloc, la narguait… - Ta matraque n’arrête pas de se développer… Je n’ai jamais vu une bite pareille, si grosse, si dure ! Elle baissa la tête amenant sa bouche à quelques centimètres de mon gland et prit mon sexe entre ses lèvres. Elle me pompa quelques secondes, puis me relâcha. Je n’en revenais pas… 2 mains couraient sur ma hampe pendant que mon gland disparaissait dans sa bouche, elle s’enfonçait tellement loin qu’elle salivait avec abondance sur mon nœud. ! Après quelques minutes de ce supplice, Sœur Henriette retira sa bouche et tendit l’offrande à sa voisine - Je suis sûre que tu fantasmes, imaginant ta bouche sur son formidable pénis ! Profite de sa virilité. Une occasion pareille dans un couvent, tu n’en auras sûrement pas beaucoup d’autres ! Sœur Madeleine plongea soudain sur moi, ses lèvres entourèrent avec précaution mon gland, glissèrent dessus et absorbèrent quelques centimètres de ma verge avant de se retirer. -Mon dieu qu’elle est grosse ! C’est doux et dur à la fois, et que c’est chaud !... Sa tête replongea, sa langue agile partait à la découverte de l’inconnu, insistait sur le frein, caressait le gland. Ses mains jouaient avec mes couilles, les palpaient, les pétrissaient. ...
... Jamais je n’avais été aussi gros !!! Elle admirait son œuvre, les yeux exorbités. Mais sœur Henriette s’impatienta et me chevaucha, encadrant ma tête des ses cuisses. Son sexe était une forêt de poils d’où émergeaient deux lèvres charnues très proéminentes. Une odeur forte et enivrante s’en dégageait. Ce parfum, je ne le connaissais pas, il m’attirait comme celui d’une fleur à butiner. Ma bouche vint cueillir le nectar de cette fleur inconnue des jardiniers. Elle colla sa fente sur mes lèvres, je plongeai ma langue telle la trompe du bourdon entre ses pétales pour en extraire le pollen. Ma langue lécha, ma bouche lapa, mes lèvres burent sa mouille abondante. -Oh oui beau jardinier, dévore-moi la chatte, enfonce ta langue, oui, encore plus loin. Que c’est booonnn !!!! De ses doigts, elle écarta impudiquement ses lèvres vaginales imbibées de cyprine et de salive. -Applique-toi mieux que ça, lèche-moi bien la chatte, suce-moi le bouton, oui, la petite chose en haut de ma fente, ouuuiii comme ça… bois ma mouille, bouffe-moi la chatte, embrasse-là, lèche-là, mordille- là. Putain tu es doué, je coule comme une fontaine, haaaaaa, haaaaaaaaaaaaa, oh arrête, c’est devenu trop sensible ! Mais je continuai de plus belle, encouragé par ses paroles et m’aidant de deux doigts que j’enfonçai dans sa chatte complètement inondée. Je léchais encore et encore l’amenant à plusieurs orgasmes. Ma bouche était complètement maculée de ses secrétions intimes. -J’ai jouis comme jamais mais maintenant je ...