1. Comment le jardinier est devenu "le défricheur.3


    Datte: 22/08/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... veux connaître la sensation d’avoir en moi ta poutre si épaisse et si longue mais je t’en supplie, vas-y doucement je t’en prie ! Elle guida avec sa main ma verge vers son sexe, la plaça dans sa fente et, se l’enfonça le plus loin possible. - Oh oui, je l’a sent bien ta grosse pine. Quel morceau de Roi, vas-y, défonce-moi ! Mais c’est elle qui dansait sur ma queue comme une hystérique. -Sœur Madeleine, s’il me fait du bien avec son braquemard, il ne fait rien de sa bouche, fais-lui découvrir les saveurs de ta chatte pendant que je goûterai ta bouche ! La moniale n’attendait que ce coup de pouce pour vaincre sa réserve. J’avais maintenant deux furies déchaînées qui se bécotaient et se pelotaient tout en prenant du plaisir avec ma bite et ma bouche. Autant la chatte d’Henriette était largement dessinée, autant celle de Madeleine était étroite et serrée, ma langue devait forcer pour s’insinuer entre des lèvres discrètes. Je n’arrivai bientôt plus à retenir la pression qui montait dans ma queue et avertis avec difficulté ma cavalière en plein rodéo, gêné par la chatte de sœur Madeleine sur ma bouche. -Je vais gicler sœur Henriette ! Elle retira mon rostre de sa chatte et me branla vivement de sa main. - Viens, vide-toi de ton foutre, on veut assister au miracle dont nous a parlé sœur Marie ! Un premier jet vint s’écraser sur son visage et sa poitrine, mais prévenue par sœur Marie, elle continua de plus ...
    ... belle l’astiquage de ma lance. Des jets incessants entrecoupés par de nombreux aller-retour de sa main sur ma hampe sous pression venaient s’écraser sur elle et sa voisine ou retombaient sur mon corps, elles dégoulinaient de sperme que je voyais couler sur leurs peaux satinées. -Jamais vu ça, il gicle en pointillé. Quand l’éruption cessa, elle me reprit en bouche et insista pour en faire une toilette très minutieuse avec sa langue, pressant ma verge pour en recueillir les moindres traces de foutre. -C’est à ton tour Madeleine… Viens profiter de sa grosse branche rugueuse ! Mais sœur Madeleine n’osa pas accepter le cadeau que lui proposait la moniale pleine de vice. -Je ne pourrai jamais… Je n’ai jamais connu d’homme… Enfin, je suis encore vierge… -Et alors ! Il faut bien une première fois, lui rétorqua la dévergondée, et là c’est du premier choix ! Elle attira à elle la novice la ramenant tout doucement à l’aplomb de ma verge. -La femelle est faite pour accepter le mâle, c’est une loi de la nature, l’encouragea-t-elle, même si des fois le tenon est si gros et la mortaise si petite ! Mais sœur Madeleine avait si peur qu’elle refusait ma pine à chaque fois qu’elle effleurait sa vulve. - Il va t’aider, mets-toi à genoux, pose les mains au sol et laisse-le œuvrer, et toi beau jardinier, sers-toi de ton plantoir pour défricher cette jeune vierge mais sois délicat avec cette chair fraîche et innocente! A suivre…. 
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