1. Mika et Véro


    Datte: 25/04/2019, Catégories: fh, fplusag, amour, Oral pénétratio, confession,

    ... érotiques. Je ne parvins à m’apaiser et ainsi m’endormir vraiment qu’après m’être doucement masturbée, ce que je n’avais pas fait depuis des années. Je pris conscience que ma sexualité se réveillait depuis la présence de Mika à mes côtés. Cette pensée me plaisait et m’effrayait. Que je retrouve des sensations dans mon corps, dans mes seins, dans mon bas-ventre, au plus profond de mes entrailles, ne pouvait que me réjouir ; mais que tout cela soit dû à Mika, cet homme jeune, de l’âge de mon fils, me faisait peur. Bien sûr, il était adorable, facile à vivre, prévenant, mais jusqu’à présent ses attitudes ne pouvaient me laisser entendre qu’il eût quelques sentiments autres que du respect ou de l’amitié. Il ne pouvait être conscient que la vue de son intimité m’avait troublée car il ignorait que je l’avais vu nu dans sa salle de bain, que j’ai vu son sexe libre alors qu’il ne savait pas que ses gesticulations avaient ouvert sa robe de chambre. C’était moi seule qui fantasmais, qui me faisais des idées lubriques. Devenais-je une couguar ? Que ce mot me déplaît !« Mais malheureusement,me dis-je,c’est plus le mot que ce qu’il signifie ! » Nous passâmes quelques soirées sans vraiment nous rencontrer car il finissait tard, des rendez-vous qu’il ne pouvait prendre qu’après la fermeture des bureaux, me précisa-t-il ; et de ce fait, je ne sais pourquoi, je n’avais pas envie de me retrouver seule devant la télé, aussi je prenais un livre et j’allais lire dans mon lit. Mais de façon plus ...
    ... ou moins consciente j’écoutais et attendais son retour tardif. Une vague inquiétude me taraudait, que je ne voulais pas analyser car je me serais aperçu que cette inquiétude prenait naissance dans un sombre sentiment de jalousie. Peut-être que sous prétexte de travail il préférait passer ses fins de journées avec quelqu’un d’autre ? Une femme, bien sûr ; plus de son âge, naturellement. Je m’efforçais de refouler ces pensées débilitantes, fustigeant tour à tour mon imagination pessimiste et essayant de me convaincre que ces pensées n’allaient pas tarder à disparaître toutes seules, usées par le temps qui passe. Un dimanche soir que nous étions rentrés assez tôt tous deux, nous prîmes tranquillement l’apéritif tout en devisant sur la journée passée. J’avais préparé un repas léger, mais tout de même avec une certaine recherche, simplement pour me (nous ?) faire plaisir. Une bonne bouteille de vin d’Alsace accompagna les coquilles St Jacques et le saumon qui suivit. Et nous prîmes, lui un café et moi un thé, que nous fîmes suivre d’une prune de propriétaire, installés devant le feu de la cheminée. Nous nous mîmes d’accord sur le film que nous allions regarder, un drame sentimental dont le titre m’échappe maintenant. Le salon était à peine éclairé afin que les images de l’écran fussent plus claires. Nous en étions aux deux tiers du film et, plongée profondément dans l’histoire qui se déroulait sous nos yeux, je ne pouvais m’empêcher de repenser à une histoire triste qui m’était ...
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