Mika et Véro
Datte: 25/04/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
amour,
Oral
pénétratio,
confession,
... arrivée, un amour malheureux. Et, les yeux mi-clos, quelques larmes coulèrent sur mon visage. Sans que j’eusse perçu un mouvement proche tant j’étais prise par le drame qui se déroulait à l’écran, mes épaules se retrouvèrent emprisonnées dans des mains (celles de Mika puisque nous n’étions que nous deux, me dis-je) et des lèvres déposèrent un délicat baiser sur mes cheveux puis sur mon front, et ces mêmes lèvres me disaient ou plutôt me susurraient : — Ne sois pas triste ; cela, c’est le passé. Pense au présent qui n’est pas si mauvais ; laisse aller ta nature, tes sentiments. Tu ne dois pas te restreindre : la vie est courte, il faut que tu en profites. J’étais comme paralysée, incapable de prendre une décision d’indignation, de rejet avec courroux ou de m’abandonner et faire ce qui m’était inspiré. Tandis que de petits baisers se déposaient sur mon cou, les mains quittèrent mes épaules et descendirent dans l’échancrure de ma robe de chambre avec lenteur ; elles vinrent emprisonner mes seins qui se retrouvèrent doucement caressés. Un frisson parcourut mon corps, et le bout de mes seins maintenant titillés se dressaient. J’essayai de prononcer un « non » timide mais si peu convaincant que les caresses redoublèrent et que la voix tentait de me rassurer : — Laisse-toi faire, laisse-toi aller au plaisir du moment, profite des bonnes choses de la vie. Je veux que tu sois bien. Et maintenant les mains descendaient vers mon ventre, un doigt tournait autour de mon nombril et ...
... faisait mine de vouloir y pénétrer. Mes yeux restaient fermés ; c’était la révolution dans ma tête mais aussi dans mes entrailles que je percevais remuées d’un bien-être interne. Des doigts se perdaient dans ma toison brune, entortillant doucement les longs poils autour d’eux. Un frisson me parcourut, parti de mes seins et venant se perdre entre mes cuisses ; mon sexe me semblait enfler et s’humecter. C’est alors que Mika, contournant le fauteuil, vint s’agenouiller devant moi et écarta les pans de ma robe de chambre. Ses doigts vinrent caresser mon mont de Vénus, s’aventurant jusqu’aux lèvres de mon con tellement consentant que mes jambes s’entrouvrirent sans que je n’en eusse pleinement conscience. Avant même de réaliser l’entière situation, je sentis une caresse chaude sur mon clitoris : cette langue me le titillait et me provoquait des ondes qui traversaient mon ventre, et cette malicieuse venait lécher mes lèvres que je sentais écartées et trempées de la mouille que je sentais sourdre de moi et de la salive de Mika. J’étais en apesanteur ; mon environnement avait disparu. J’aurais pu être n’importe où ; seules vivaient mes entrailles. Cette chatte depuis trop longtemps délaissée par moi comme par les autres, elle en voulait plus, elle voulait se rattraper, elle en redemandait, venant au-devant de cette langue qui la fourrait, de ces doigts qui la pénétraient, qui la fouillaient, qui faisaient lever mon bassin afin qu’ils aillent plus loin, plus vite, jusqu’à ce qu’en pleine ...