1. Mika et Véro


    Datte: 25/04/2019, Catégories: fh, fplusag, amour, Oral pénétratio, confession,

    ... trop envie de toi. S’il te plaît… Je ne pourrai pas tenir longtemps. Alors, montant sur le canapé, je me mis à califourchon sur lui et de ma main je guidai son pénis raide dans ma chatte ouverte et ruisselante de la mouille de mon propre désir. En appui sur mes genoux, je montais et descendais le long de ce mât de cocagne qui s’enfonçait et que j’avalais entièrement. J’en sentais la cavité pleine. Je m’en repaissais. Je pouvais encore rester maîtresse de mon plaisir, ce qui me permettait de maintenir le rythme qui amena Mika au bord de l’explosion, sans la provoquer encore. Mais ce petit jeu avait une fin, car l’attente – les « Oui, maintenant… » alternant avec les « Non, pas encore ! » – ne faisait en définitive qu’augmenter la pression qui finit par atteindre un point de non-retour. Et ce point, je le sentais pour nous deux. Aussi, accélérant ma chevauchée, nous arrivâmes ensemble sur le poteau. Je sentis sa queue grossir et exploser dans ma chatte prise de spasmes qui éjecta une abondante mouille qui vint dégouliner le long de nos cuisses. Seuls dans la maison, nous n’avions pas à retenir nos cris et gémissements, ce qui augmenta encore notre jouissance mutuelle. Je m’effondrai sur la poitrine de Mika, et tandis que nous nous tenions ainsi enlacés, je sentis son sexe diminuer sa pression dans le mien et s’en retirer lentement. Que c’était bon ! Après quelques longues minutes de calme après la tempête, je repris mes esprits, et de ce fait la réalité m’apparut dans toute sa ...
    ... vérité. Nous venions de franchir un cap dans notre relation. Que nous était-il arrivé ? Qu’avions-nous fait ? Qu’allions-nous faire ? Ces questions tournaient dans ma tête avant de les poser à Mika. Et lui, se les posait-il, ces questions ? Toujours à cheval sur son bassin, j’allais entamer la discussion quand Mika me dit : — Je crois savoir ce que tu penses ; mais sache que depuis la première fois que nous nous sommes vus, mes pensées étaient constamment tournées vers toi. Quand je te voyais triste, j’étais triste avec toi. Quand j’ai vu que tu retrouvais l’envie de vivre, la joie, je partageais cette joie nouvelle. J’ai eu le fol espoir que c’était ma présence, nos sorties, nos discussions qui amenaient le changement. Ton corps dont tu peux encore être fière a tout pour attirer n’importe quel homme. De taille moyenne, tu as su lui conserver la fermeté, la gracilité, et des formes qui attirent l’œil et donnent des démangeaisons dans les mains des hommes. Tu n’es jamais négligée, et ta coquetterie reprend vie – si, si, je l’ai observé. Et la différence d’âge, on l’envoie se faire foutre par-dessus les moulins. Tu dois vivre dans l’instant présent, te faire plaisir sans vraiment penser à un futur inconnu que l’on maîtrise souvent mal. Ce que nous venons de faire a été pour moi extraordinaire, et si j’en crois ce que j’ai vu et ressenti, ce le fut également pour toi. Alors, ne nous tracassons pas plus que ça : prends le bon – et c’était bon, même très bon ! – et laisse courir, ...
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