1. Le club des nymphes - tome II (24)


    Datte: 26/04/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    Chapitre 24 (Nathan) : Entrée en scène Quelques années plus tôt. — Joyeux anniversaire, mon amour ! dis-je à ma douce Maryline en lui tendant une petite boîte recouverte de papier cadeau. Elle me sourit, s’empare de l’objet et arrache l’emballage d’un geste vif. Son sourire s’élargit en sortant le collier de la boîte. — Oh, Nathan, il est vraiment magnifique ! C’est exactement celui que je t’ai montré quand nous sommes passés devant la boutique la dernière fois. — Oui. Il avait l’air de beaucoup te plaire alors j’ai pensé que ça te ferait plaisir. — Et tu as bien fait, mon amour. Elle se penche sur moi et m’embrasse du bout des lèvres. Comme à chacun de ses baisers, mon cœur s’emballe. Oh, ma belle Maryline, je suis fou d’elle, je suis prêt à tout pour elle. Le collier était assez cher mais ça en valait la peine, juste pour la rendre heureuse. Et puis bon, ma famille est loin de la misère, alors je pouvais me le permettre. C’est la première fois que je ressens ces sentiments pour une fille. Elle est tellement pure, sage, gentille, douce… Elle est aussi très indépendante ; parfois trop à mon goût. Et puis, quelle beauté ! Je crois n’avoir jamais vu de fille si belle. Un visage d’ange qu’on a envie de croquer, un petit nez fin, des yeux bleus presque blancs qui donnent une véritable profondeur à son regard et où on se fait facilement piéger. De longues mèches brunes forment une coupe désordonnée qui lui donnent l’allure de Médusa, mais en beaucoup plus mignonne. Et puis ...
    ... n’oublions pas son corps : sûrement ce qu’il y a de plus désirable chez elle. Chaque fois que j’y songe, je finis toujours par m’autoriser un petit plaisir solitaire. Cachés sous la chemise blanche de son uniforme se trouvent deux énormes seins qui tendent lascivement son vêtement. Dieu, comme je me suis imaginé des tas de fois arracher ces boutons pour découvrir ces merveilles ! Et dans des collants blancs, deux longues jambes dépassent de sa jupe marron. Elles m’ont toujours fait beaucoup d’effet. Même dans mes rêves les plus fous, je ne pouvais imaginer que ma première copine serait si magnifique. Je l’embrasse sur la nuque ; elle rit. Je pose quelques doigts sur sa cuisse et essaie de les glisser sous sa jupe. Maryline arrête ma main. — Non, tu sais bien, c’est mal… — Tu y crois vraiment ? — Bien sûr. Jésus Christ est notre sauveur ; il s’est sacrifié sur la croix pour expier les fautes de l’humanité, récite-t-elle. Pas toi ? — Je ne sais pas, avoué-je. Ma mère a tout fait pour me donner une éducation catholique, mais je crois que je n’ai jamais vraiment adhéré au concept. — Le sexe est un péché. Il est permis seulement après le mariage, et uniquement dans le but de procréer. Oui, je connais la leçon, mais je ne peux m’empêcher de penser que c’est un énorme gâchis. J’ai atrocement envie d’elle. Je ne vois pas le mal qu’il pourrait y avoir à se faire mutuellement plaisir. J’aimerais parfois qu’elle se montre un peu moins à cheval sur ces règles, mais bon, il fallait que je ...
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