Le club des nymphes - tome II (24)
Datte: 26/04/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
... sont toutes deux à quatre pattes sur le lit en train de se faire prendre chacune par un type baraqué. Elles remuent beaucoup sous les violents coups de queues qui les défoncent. Aucune ne semblent s’en plaindre, pourtant, bien au contraire. Le collier que j’ai offert à ma bien-aimée se balance entre ses énormes obus que je découvre enfin. Pourquoi ? Je ne comprends pas. Qu’est-ce que j’ai fait de mal ? J’ai fait tout ce qu’elle me demandait : je me suis montré gentil, attentionné, serviable, respectueux, et la voilà qui commet l’irréparable avec un type sorti de nulle part ! Pas de sexe avant le mariage ? Elle s’est bien foutue de ma gueule ! J’ai toute cette rage qui ne demande qu’à exploser. J’ai envie de tout détruire. Mes mains tremblent. Mes poings se serrent. Je devrais faire quelque chose ; la prendre sur le fait, lui montrer ses contradictions, la traiter de pute, mais à quoi bon ? Au lieu de cela, je reviens sur mes pas et rentre chez moi à pied afin de laisser le temps à mes yeux de sécher. Le lendemain matin, quand ma mère me réveille pour mon dernier jour d’école avant les vacances, je mime une maladie. Elle me touche le front pour voir ma température, mais c’est la mine dépitée et accablée que je tire qui la convainc de ma bonne foi. En même temps, je n’ai pas dormi de la nuit ; je n’ai fait que pleurer. Je ne reçois aucun message de Maryline de la journée, signe qu’elle ne s’inquiète pas de mon absence. Elle ne tient vraiment pas à moi. Je reste tout le week-end ...
... enfermé dans ma chambre à chialer et à broyer du noir. Ma mère, qui comprend que ma situation n’a rien à voir avec un quelconque microbe, tente de me faire parler. Je la rembarre méchamment, et elle disparaît sans insister comme à son habitude dès que quelqu’un hausse le ton avec elle. Je chiale, me sentant encore plus seul. Ce n’est que lundi que ma situation évolue au moment où quelqu’un frappe à ma porte. — Va-t-en ! crié-je sans savoir à qui je m’adresse. — C’est Nina, me lance une voix féminine, j’ai juste besoin de prendre ton linge sale. Nina, c’est une jeune que mon père a engagée pour assurer les tâches ménagères à la maison. Elle vient plusieurs soirs par semaine, ce qui lui permet de se faire un peu d’argent afin de financer ses études. Je me lève et vais lui ouvrir. — Désolé, m’excusé-je. — Quelle tronche ! se moque-t-elle. Il t’arrive quoi, mon pauvre vieux ? Je ne réponds pas et vais m’asseoir sur mon lit en attendant qu’elle parte. Elle rassemble mes affaires éparpillées un peu partout en un tas, mais plutôt que de l’embarquer tout de suite elle m’observe et vient s’asseoir à côté de moi. — Ah, les premiers amours… jamais facile ! — Quoi ? fais-je, surpris. Comment sais-tu ? — Je suis passée par là moi aussi. Tu peux m’en parler si tu veux, ça te fera beaucoup de bien. — Non, c’est pas la peine. Laisse-moi seul maintenant. — Ou alors, hésite-t-elle, je connais un autre moyen qui te remontra le moral à coup sûr. Je ne comprends pas tout de suite où elle veut en ...