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À mer que veux-tu ! (1)
Datte: 22/08/2017, Catégories: Erotique,
... chose raide qui ne se détendait pas. Alors, elle goba l’objet sans respirer pour bien sûr, mieux le lécher. Évidemment la fellation, en milieu aquatique n’avait rien d’aisé. Mais le but était atteint, lui montrer qu’elle aussi pouvait avoir des pulsions secrètes. Elle refaisait surface, coupant son apnée pour ensuite mieux replonger et revenir au contact du sexe contracté. Lui ne tentait pas de la retenir ni de la dissuader du reste, de cesser. Au bout de plusieurs voyages, comme elle s’essoufflait un peu, elle se contenta de le masturber. Il ne s’en plaignit pas vraiment pour autant. — oooOOooo — Avec la marée et le vent, les courants ne se voyaient pas forcément. Les deux nageurs étaient relativement loin du rivage. Ils restaient pourtant dans la zone balisée. Cependant au bout d’une dizaine de minutes à tripoter son mari, elle se remettait en route vers la plage et sa populace hétéroclite. Il avait naturellement remis ses petites affaires en place, pas question de se montrer nu parmi les estivants. Il leur fallut un temps incroyablement long pour retrouver leurs serviettes et ce minuscule coin qu’ils s’étaient appropriés provisoirement. Les deux autres avaient repris place aussi sur le territoire tout proche. La femme se perdait dans la lecture d’un bouquin ! L’homme quant à lui, avait la posture du dormeur. Après s’être séchés, Claude et Michel reprirent le sentier qui menait au « Remblai » ! Visiblement ils cherchaient un endroit pour se désaltérer. Ce n’était pas ce ...
... qui manquait en cette saison, les vendeurs de limonades ou d’alcool. Les bières aux reflets ambrés, servies par un garçon stylé, coulèrent dans leurs gorges sèches, les rafraîchissant d’une amertume de bon aloi. Sur l’étroite voie passante, des centaines de piétons se pressaient, des jeunes gens munis de planches à voile et des curieux, partout, en désordre. Claude admira un long moment ces équilibristes effrontés bravant les grosses vagues, lesquelles venaient sans cesse se briser sur le béton à ses pieds. Leurs verres vides rapidement attestaient d’une soif intense. Après cela, c’est main dans la main qu’ils regagnèrent leur maison de location. À peine entré, Michel revenait à la charge. Le court intermède océanique l’avait mis en appétit. Claude ne chercha pas à se soustraire à cette danse frénétique des deux corps chauds. Si elle l’avait provoqué lors de la nage, ce n’était pas non plus pour le laisser dans un état pareil maintenant. Quand elle allumait le feu, elle se savait aussi capable de l’éteindre. L’étreinte des bras musclés de son mari la ravissait. C’est sur la crédence de l’entrée qu’elle se sentit soudain soulevée par deux mains puissantes. Michel l’embrassait à bouche que veux-tu, et elle répondait à ses baisers chargés d’envie. Il avait eu vite fait de faire glisser à ses pieds le micro slip de bain encore humide de son épouse. Il ne chercha même pas à le faire passer par le second peton. Déjà sa bouche s’était enfouie entre les deux cuisses largement ouvertes, ...