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À mer que veux-tu ! (1)
Datte: 22/08/2017, Catégories: Erotique,
... et sa langue fouillait désormais le triangle de poils sombres qui masquait l’ourlet féminin. Elle ne mit ses mains sur son crâne que pour mieux appuyer sur ce dernier. Ainsi, il n’aurait plus la possibilité de reculer et la chose baveuse qui frôlait déjà les deux lèvres béantes, resterait bien là où c’était bon. Mais sans doute n’avait-il jamais, au grand jamais, eu cette malheureuse idée de renoncer. Le souffle qui courait sur le pubis de dame Claude ne pourrait aucunement tarir la source qui suintait d’amour. D’un museau souple, il menait la valse et elle se dandinait d’une étrange manière sous les caresses tellement intimes. Michel aimait cette aigue-marine aux senteurs d’océan. Claude soupirait, geignait sous les assauts de sa langue. Il explorait toujours avec un bonheur jamais démenti cette conque domestiquée pourtant depuis bien des années. Il n’en demandait pas d’autres, n’en cherchait pas, mais ne s’interdisait nullement de regarder parfois… si le pré du voisin était plus verdoyant que le sien. La jeunette de la plage lui avait attiré le regard, mais c’était toujours sa Claude qui le faisait bander. Il voulait au moins s’en persuader. Du moins c’était toujours en elle qu’il se sentait le mieux. Cette fois encore n’échappait pas à la règle. Il l’avait laissée se redresser, pour se pendre au sens littéral du terme, à son cou. En la maintenant alors qu’ils s’embrassaient, il avait prestement baissé à mi-cuisses short et caleçon de bain. Puis ses bras musclés ...
... n’avaient plus eu qu’à la soulever légèrement pour mieux la laisser se lover contre lui. En redescendant, elle toute seule s’était empalée sur la queue raide de l’homme. Le soupir sans fin qu’elle poussait ne pouvait que signifier son bonheur de le sentir en elle. Alors un athlétique corps à corps avait lieu au milieu d’une entrée et au diable les voisins qui pouvaient entendre leurs cris. C’était trop bon pour se priver de ces gémissements que cette fornication impromptue leur procurait. Il savait d’emblée que cette position ne pourrait pas durer indéfiniment et il lui fallait pourtant se retenir, son plaisir d’homme ne viendrait que de celui de cette épouse aimante et de son orgasme à elle naitrait une véritable osmose entre eux. Il y réussissait plutôt bien en temps normal. Mais là… Claude l’avait fortement émoustillé depuis longtemps et se retenir tenait de l’exploit. Alors une fois ne serait pas coutume. Il jouissait sans se préoccuper de savoir si elle en retirait un vrai plaisir. La pipe océanique et les mouvements debout, trop rapides avaient eu raison de la montée de semence qui maintenant coulait en elle. Elle avait de petits soubresauts, alors qu’accrochée à son cou, elle se secouait le bassin. Les gémissements qu’elle poussait pouvaient signifier plusieurs choses. Soit, elle aussi prenait son pied, soit, elle grognait à cause de son abandon passager. Il dut faire un effort pour la relever assez pour qu’elle se dégage de son étreinte. Il bandait toujours alors que Claude ...