Et j'y ai pris goût...
Datte: 28/04/2019,
Catégories:
fh,
couple,
amour,
hsoumis,
fdomine,
BDSM / Fétichisme
Oral
69,
fdanus,
hdanus,
hgode,
init,
... toise en riant. Elle porte un corset de latex noir ouvert à la poitrine, laissant darder ses seins tels des obus, maintenant par quatre jarretelles des bas de la même matière troublante et lisse, et ses bras sont revêtus de gants remontant jusqu’à ses aisselles. Le tout la transforme en une diablesse d’un genre gothique qu’un maquillage soigné souligne bien, mais le plus spectaculaire se trouve entre ses jambes. Elle ne porte pas de culotte, mais une sorte de harnais passant autour de sa taille et entre ses jambes, garnie d’un impressionnant godemiché en latex noir, dressé à l’horizontale dans ma direction. Avec mon tablier de bonniche, je ne sais plus où me cacher quand elle me déclare sur un ton aussi tendre que déterminé : — C’est ton tour, mon amour…— Aujourd’hui ? Tu veux dire, maintenant ? bredouillé-je.— Maintenant, oui, je suis sûre que tu es prêt.— Euh… oui… non… je ne sais pas… Mes hésitations n’ont pas empêché mon sexe de se redresser à la verticale, libre qu’il est derrière ce pauvre tablier de soubrette, et mon épouse s’en aperçoit immédiatement. Confortée dans ses intentions malicieuses, elle me demande d’approcher et de constater par le toucher qu’elle n’est pas une apparition fantasmatique. Je pose mon plateau et j’obtempère. Debout sur le lit, elle me domine d’une tête et en profite pour me poser la main sur la nuque et me forcer à respirer son parfum, la tête calée entre ses seins pointant hors de sa gaine de latex. L’odeur puissante de cette matière est ...
... nouvelle pour moi, mais le contact en est encore plus excitant que la vue. Je bande cette fois comme un taureau, posant mes mains sur son ventre lisse et brillant, ses hanches sublimées par cette deuxième peau, ses fesses nues étroitement encadrées par la matière élastique, mais je ne peux vraiment l’approcher, puisque son énorme pénis factice me tient à bonne distance. De la main droite, elle attrape ma verge et commence à me branler de ses doigts gantés. La sensation est nouvelle et délicieuse, le frottement de la peau est remplacé par une pression plus intense de ses phalanges. De son autre main elle parcourt mon dos, se rapprochant chaque fois un peu plus de mes fesses, et de sa cible. J’ose à peine bouger, je suis devenu sa chose, et même si cela ne doit durer qu’un instant, le sentiment en est affolant. Elle lâche mon sexe et m’appuie maintenant des deux mains sur la nuque, m’obligeant à poser mes lèvres sur son pénis artificiel. — Tu veux y goûter un peu, juger de la grosseur ? Je ne réponds rien, j’ai déjà la bouche pleine. C’est tout nouveau pour moi, qui n’ai jamais envisagé de fellation dans ce sens, le goût est neutre mais le volume impressionnant et je me félicite de ne pas avoir à en faire trop. Ma femme relâche sa pression et m’invite à m’allonger en délaçant le tablier blanc : — Ça t’allait bien, mais tu risques de le tacher…— Il te va mieux en temps normal, mais ce n’est pas un jour normal, je crois.— Non, effectivement, aujourd’hui c’est ta fête ! Sur ces mots ...