1. La soumission


    Datte: 29/04/2019, Catégories: fh, hotel, fsoumise, hdomine, contrainte, Masturbation facial, Oral 69, pénétratio, sm,

    ... dégoûte plutôt. Après qu’il m’ait expliqué ce qui m’était arrivé (j’étais sûre d’avoir fait pipi), je lui dis : — J’ai joui comme jamais, tu peux venir dans ma bouche. Il se mit à genoux sur le côté et me plaça la tête sur sa cuisse droite. J’étais sur le côté et il me fit écarter les cuisses. — Défense de les resserrer. Je le suçai et le branlai en même temps de la main droite. Sa main droite maintenait ma tête, quant à sa gauche, il avait pénétré de deux doigts mon sexe et se contentait d’appuyer sur mon point G. Il ne bougeait pratiquement pas et ça me faisait un effet terrible. Il y a quelques temps, j’ai réussi à ce que mon mari y arrive (quatorze ans plus tard – je n’avais plus refait la fontaine depuis Michel), c’est divin mais à la limite de l’insupportable. Je giclai toutes les dix secondes environ le même genre de glaire, en quantité moins importante que la première fois, mais suffisante pour ça trempe sa main qui dégoulinait sur mon sexe, puis coulait sur ma cuisse gauche (l’état de mon bas et de la jarretière !) et sur mon aine. Le drap en était trempé. Cette mouille achevait de me rendre folle. Je suçai comme jamais – il m’a déclaré après « J’en ai connu des suceuses, mais aucune ne l’a jamais fait avec autant d’ardeur que toi à ce moment-là » – tout en gémissant de plaisir et en poussant des cris, étouffés naturellement par son sexe qui emplissait ma bouche. Je cherchai à me retirer pour lui dire à quel point c’était bon, mais il me tenait fermement. J’étais ...
    ... convaincue qu’il allait éjaculer dans ma bouche et je crois que s’il l’avait fait, j’aurais avalé sans peine, cette fois, ça serait passé tout seul. Mais il finit par se retirer et me reprendre à quatre pattes. — Lâche-toi, crie. J’avais déjà crié assez fort mais là, me tenant par les hanches, il me défonça sans ménagement. C’était un mélange de plaisir, car son sexe me ramonait là où il faut, et de douleur, car il allait trop creux et trop fort. Je hurlai à la fois de plaisir et de douleur et je me demande encore comment les gendarmes ou les employés de l’hôtel ne sont pas intervenus. Cela ne dura heureusement pas très longtemps, car n’ayant pas su « réclamer », je fus prise en flagrant délit de désobéissance. La sentence fut exécutée à quatre pattes, lui à genoux devant moi, il me saisit la tête (une main sur le crâne et une sous le cou) et fit lui-même les va-et-vient : — Tu t’es déjà fait baiser par la bouche comme ça, ma belle soumise, ma suceuse championne du monde ? Je fis non tant bien que mal de la tête. — Alors même ce salaud de David ne t’a pas prise comme ça ? C’est pourtant bon, surtout avec une femme qui me disait au début qu’elle était plutôt du genre dominatrice, au lit. C’est ce que je lui avais dit pour le décourager de jouer au macho. Je n’ai jamais laissé un homme recommencer. C’est la pire des humiliations, surtout lorsqu’il se lâche à prononcer les pires « salaceries », dont je ne me rappelle plus tant il y en eut. Cela se termina par un : — Allonge-toi. Il ...
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