Epilogue II : La jouissance du mal
Datte: 30/04/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... précaution. Dieu merci. Mais le supplice sembla reprendre dès qu'il déposa son gland dans le trou, mon sphincter se resserait, n'en pouvant plus. Mon sexe, quant à lui toujours autant bandé, ne demandait qu'un peu d'amour et de paix, mais je n'eûs pas une seconde de répit pour m'en occuper. A mon grand malheur, Jason trouva ça formidablement serré, a contrario d'une bouche trop étroite. Il coulissa avec lenteur d'abord, le temps que je m'y habitue, puis m'asséna soudainement de toute sa longueur. Le choc passé, et les cris aussi, il ressort posément en jouant avec son gland à l'entrée de mon anus. Des frissons me parcoururent le corps entier : enfin quelque chose de plaisant, de doux. J'en eû même un début de gloussements tellement cette sensation était agréable après le massacre de Diego. Malgré une bite plus courte (bien que court et 18 centimètres ne soit pas tellement synonymes....) il avait réussi à me donner une idée précise de la souffrance du viol. J'essayais de me cambrer du mieux que je pouvais, comme je l'avais vu sur les vidéos, pour mieux accueillir son sexe et lui offrir un meilleur orgasme. Montrer à ce pauvre macho de première que la violence n'apporte pas l'entraide, montrer qu'avec un peu de patience et de gentillesse, on obtient tout ce que l'on veut d'autrui. Et nos regards tendres n'ont apparemment pas plu au trentenaire, puisque celui-ci, maintenant vidé et n'ayant plus aucune envie de sexe, dégueule à l'attention de son ami : "-Grouille toi, on a ...
... d'aut' choses à faire c'matin, tu vas pas y passer 2 heures à y faire des guilis. Déboite-le un peu qu'y comprenne la leçon." Jason ne se le fait pas répéter deux fois, son regard se durcit et il s'apprête à me donner de grands coups de reins quand il s'arrête net. "-Ouais vas-y j'm'en occupe du minot mais t'vas pas rester là à nous mater? T'as d'jà tirer ton coup maintenant laisse-moi tranquille avec son cul en tête-à-tête. -'as-y j'vais fumer, ramonne-le bien que je l'entende crier, ça détend." Une fois habillé et la clope au bec, il jette un dernier coup d'oeil à son pote avant de sortir du camtar, histoire de lui rappeler que c'est lui le chef, lui qui décide de comment ça se passe même si ce n'est pas son coup qu'il va tirer. Les portières se claquent dans un bruit assourdissant, nous voilà maintenant tout les deux. Seulement moi et le beau voyageur métissé. Mon p'tit cul et sa bite de monstre. Et nos deux corps réunis comme ci nous ne faisions qu'un. Il s'enfonce un peu plus profondément ce qui me vaut des soupirs altérés de douleur, et lorsqu'il atteint le fond, ou bien que son sexe est entièrement en moi, je n'en sais rien, je lâche des jurons. Mais cette douleur est incomparable à celle que je viens de vivre. Celle-ci est plus spontanée, plus coriace et pourtant moins douloureuse. Je prends le temps de le regarder prendre son pied, il accélère au rythme de mes cris de jouissances, sans me prendre pour autant comme un bourrin. Il est doucement vigoureux, c'est très ...