1. A la maison


    Datte: 02/05/2019, Catégories: fh, amour, pénétratio, jouet, confession,

    ... mouvements de mon gland contre ses petites lèvres. Je sais que je vais durer longtemps. Je le sais, car ce n’est pas la première fois aujourd’hui. Ce matin, alors que nous étions encore au lit, Lucie a demandé en chuchotant : — Tu dors ? J’étais réveillé, le jour passait par les interstices du volet. — Oui. Je sens le matelas bouger, elle se rapproche. Un mouvement et je sens sa main sur mon ventre. Sa main qui descend, soulève l’élastique du pantalon de pyjama et vient s’emparer de mon sexe. Je reste immobile. Il est très rare que Lucie me sollicite ; en général, c’est toujours moi qui fais le premier pas. Mon sexe, lui, ne reste pas immobile. Le simple contact de la main le fait grandir et durcir, comme le sont les érections du matin. Lucie bouge à nouveau ; elle se soulève, dégage la couette, tire sur mon pantalon pour dégager mon sexe et vient s’asseoir sur moi. La suite, vous la devinez. Voilà pourquoi je vais être performant. À mon âge, deux fois la même journée – en tout cas pour moi – est un record. C’est ce que je me dis tout en m’activant et regardant ma femme m’accueillir, concentrée sur mon action, les yeux fermés. Deux fois. C’est rare. Il faut une occasion particulière, surtout que c’est Lucie qui, les deux fois, a pris l’initiative. « Merde ! Je sais. C’est notre anniversaire de mariage… » Voilà pourquoi elle a été si audacieuse. Je lui reproche quelquefois de ne pas l’être assez alors que j’aimerais qu’elle soit plus « demandeuse ». J’ai compris. C’est son ...
    ... cadeau. « Merde ! Moi, j’ai oublié. » Je panique. Il n’en faut pas plus pour me déconcentrer et que je sente que le bâton dur se transforme en baguette souple. Mais il me suffit de la regarder pour que la nature revienne. Je vais la faire grimper aux rideaux. Si je n’ai pas de cadeau à offrir, au moins je dois faire honneur au sien. Je me saisis de ses jambes pour les monter et les faire appuyer sur mes épaules. Je gagne ainsi en profondeur et mon gland découvre des régions rarement explorées. J’alterne mouvements brusques, claquant mon pubis contre ses fesses, et plus lents. — J’aime lorsque c’est très humide, dis-je alors que mon sexe plonge dans sa grotte crémeuse. C’est vrai que j’adore ce petit clapotis. C’est vrai aussi que je dois le dire à chaque fois. Que voulez-vous, il est difficile de se renouveler. En tout cas, je ne m’en lasse pas. Lucie accompagne mes avancées par des soupirs et son visage montre des crispations. Au début, je croyais que j’étais trop ardent et que mon bâton la faisait souffrir, mais elle me rassurait lorsque je la questionnais. Je vais et je viens ! C’est bon. Je le dis. Je fais pivoter ses jambes sur le côté. Maintenant, mon sexe est plus serré, presque à l’étroit dans cette possession de biais. Mais je ne m’attarde pas. — Tu veux que l’on finisse comment ? C’est ma question traditionnelle lorsque je sens que mon plaisir annonce les prémices. Quelquefois je m’allonge et elle vient me chevaucher, d’abord de face, puis de dos. Elle aime bien, de ...
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