La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°728)
Datte: 04/05/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Histoire de fantômes au Château – (suite de l'épisode N°726) - Cette fois, Monsieur le Marquis tellement interloqué, dans sa grande stupéfaction, décide de lire en entier l’article du vieux journal qu’il n’avait pas, dans l’émotion de la surprise, lu la veille au soir au manoir et donc il ne veut pas se contenter de survoler le titre et la photo des deux femmes : ‘‘Journal Le Gaulois - Villefranche-sur-Saône, le 22 mars 1916 - Est-ce que c’est parce que nos valeureux soldats sont envoyés sur le front en cette terrible guerre depuis 1914 que nos femmes vont chercher ce qui leur manque là où il reste des hommes en cette France en conflit ?’’ Voila comment commençait l’article en sous-titre par ces mots rappelant le contexte de la période du drame. Le Noble continua sa lecture : ‘‘ Il était 8h ce matin du 21 mars 1916, quand le laitier Francis Pichon tira comme chaque matin la chainette de la cloche de la grille du petit manoir du Dranier de Beaujeu. Mais cette fois-ci, il fut intrigué de trouver le portail grand ouvert, ce qui lui parut inhabituel. Quand il porta, alors, son regard dans le petit parc, il fut horrifié par ce qu’il découvrit : Les silhouettes de deux femmes étendues sur le ventre inanimées, l’une sur les marches des escaliers de la porte d’entrée et l’autre en contre-bas sur le gazon. Quand il s’approcha, il ne put hélas que constater leur décès par strangulation. Il s’agit de Madame La Comtesse du Manoir du Dranier et sa fille muette Clara, âgée de 19 ans. ...
... La porte d’entrée de la demeure étant aussi grande ouverte, le laitier entra et découvrit à l’intérieur, avec horreur, le corps gisant au sol de Monsieur le Comte ayant mis fin à ses jours en se donnant un coup de fusil. Une lettre qu’il a visiblement laissé sur la table explique les faits et les raisons de son tragique geste : ‘’Ma femme et ma fille ont commis l’irréparable en s’adonnant à la luxure la plus perverse par des orgies sexuelles chez notre voisin au Château des Evans. Quand j’ai eu vent de ces odieuses pratiques, d’apprendre que mon épouse, Madame la Comtesse me trompe dans la plus grande dépravation avec ce libertin de Marquis Louis-Alexandre Evans, le déshonneur est total. De plus, elle a su pervertir avec elle, ce qui était le plus cher à mes yeux, ma fille muette Clara, si innocente jusque-là des choses de la vie. Ne pouvant vivre avec ce scandale intolérable, avec le déshonneur de mon nom, de mon titre, de ma réputation, je mets donc fin à mes jours après avoir commis, dans une folie destructrice la pire des choses, en trucidant ma femme et ma fille afin qu’elles soient jugées par Dieu Lui-même de leur honteuses débauches. Je sais que je vais les retrouver en Enfer mais Celui-ci sera encore plus doux que la honte et le déshonneur. Que Dieu pardonne mes actes assassins. Monsieur le Comte Léonard Dranier’’ Monsieur le Marquis reste bouche bée. Il ne connaissait pas cette tragique histoire, pourtant locale. Son père, son grand père ne lui en avaient jamais, ...