1. La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°728)


    Datte: 04/05/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... Janvier 1915 …’’ Le Marquis prend avec précaution ce livre qui, il le pressent, devrait être un véritable témoignage de l’époque d’avant les faits et qu’il va donc découvrir car il n’en doute plus une seule seconde, beaucoup de choses à la lecture des confessions intimes de la Comtesse. Le Noble n’éprouve pas le besoin de commencer à feuilleter le livre ici dans la poussière car il ressent ce sentiment fort d’avoir trouvé ce qu’il est venu chercher sans en comprendre pourquoi il ressent cela, mais il en est persuadé, cette vieille demeure délabrée ne lui apprendra rien d’autre de plus. Tout ce qu’il pourra découvrir doit être consigné dans ce journal intime. Et donc afin d’être dans de meilleures conditions de confort de lecture, le Châtelain décide de quitter au plus vite ces lieux poussiéreux afin de se plonger tranquillement dans les récits croustillants du contenu de ce journal intime… Il rentre au plus vite au Château, va dans son bureau, s’installe dans son confortable fauteuil en cuir, exige qu’on ne le dérange pas sous aucun prétexte et commence à ouvrir et lire la première page : (NDLA : les nombreux épisodes, qui suivront, narreront les faits sexuels et de Dominations/soumission de la Comtesse et de sa fille Clara au Château des Evans de janvier 1915 à sa mort en mars 1916) ‘Beaujeu, le 5 janvier 1915 – Après la nouvelle et perverse soirée d’hier soir au proche Château de mon bien aimé Monsieur le Marquis Louis-Alexandre d’Evans, comment ne pas repenser à tous ...
    ... ces merveilleux moments qui me reviennent sans cesse à l’esprit. Si je les consigne ici par écrits, c’est d’abord pour laisser mon témoignage personnel sur mon ressenti à ma douce fille Clara. En effet, j’éprouve ce besoin fort d’exprimer dans ce journal intime mes souvenirs de ce monde délicieux de la perversité auquel mon bien aimé Marquis nous a fait découvrir, à moi-même et à Clara en la dépucelant d’abord, en l’offrant à d’autres et mille sublimes débauches ensuite. Si elle n’a pas eu de chance en naissant muette, elle profite enfin du bonheur de vivre dans le plus grand secret et à mes côtés les moments les plus intenses de son existence. Certes, mon mari, son père si puritain, le comte Léonard du Dranier nous tuerait s’il avait connaissance de ce que nous vivons, mais il faut bien reconnaitre qu’il y a si longtemps qu’il ne me touche plus et ne me regarde plus, ni moi, ni mon corps qui pourtant vibre encore mais désormais pour mon bien aimé Marquis d’Evans. Ma relation amoureuse et avec mon divin Marquis a commencé le soir du 14 juillet 1914 lors du bal populaire du village. Louis-Alexandre d’Evans me courtisait longuement devant un rafraichissement à la buvette champêtre sur la place de l’église. Mon mari était absent lors de cette soirée, parti 3 jours en Bourgogne pour affaires viticoles, avec ma bien aimée Clara afin de la sortir un peu du manoir. Il y avait déjà longtemps que mon plus proche voisin me courtisait et j’avoue que je n’ai jamais été insensible à ses ...
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