La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°728)
Datte: 04/05/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... décédées à ces deux emplacements. Un autre effroi une fois entré à l’endroit où devait gésir le corps du Comte suicidé. Le Noble revoit ses pas dans la poussière mais le vieux journal qu’il avait laissé sur la petite table avait disparu… pour réapparaitre dans son courrier se pense-t’il avec un grand étonnement. Et sa pensée va jusqu’à lui faire dire qu’on a voulu absolument qu’il prenne connaissance de ce qui s’est passé, ici en 1916... Mais qui a voulu ? Les deux femmes ? La mère qui devait certainement être très amoureuse de son aïeul, le Marquis Louis-Alexandre d’Evans ? Ce qui expliquerait que son fantôme était si caressant, si tendre lors de la nuit, dans le lit du Marquis … Si le Noble est revenu au manoir sur les lieux de tous ces mystères, c’est pour essayer de découvrir autre chose, un indice, une éventuelle explication sur cette histoire abracadabrante… Mais peut-on avoir une explication rationnelle quand on a affaire à des fantômes, se dit-il pour ensuite se dire dans un sursaut de rationalité que c’est impossible, que les spectres n’existent pas… Et pourtant, le journal dans le courrier lui a démontré qu’il n’avait pas rêvé … Alors il est revenu pour essayer, tenter de comprendre, de trouver une explication …. Instinctivement, il décide de monter à l’étage mais sans savoir pourquoi il ressent ce besoin qui le pousse de s’y rendre, comme s’il était guidé par une force inconnue lui incitant grandement à aller voir là-haut ce qu’il va découvrir… C’est avec mille ...
... précautions qu’il gravit les marches en bois d’un escalier craquant sous son poids et à moitié pourri par le temps et l’humidité, se frayant un passage entre les toiles d’araignées. Arrivé à l’étage, se trouve un long couloir, un véritable nid à souris où sont disposées plusieurs portes toutes fermées de chaque côté. Mais en observant de plus près, le Noble constate qu’il y a une seule porte grande ouverte au fond du couloir et c’est dans cette pièce qu’il décide d’entrer. Il découvre ce qui devait être une chambre. Un vieux lit délabré, une vieille armoire à moitié disloquée, une table de chevet au tiroir ouvert gisent dans la poussière. En s’approchant mieux, il trouve une petite clé métallique dans le tiroir ouvert. Visiblement, elle ressemble à une clé de coffre-fort comme on les faisait à l’époque. Ensuite le Châtelain se tourne vers la vieille armoire dont une des deux portes est à moitié dégondée, ce qui lui permet de découvrir qu’à l’intérieur se trouve un petit coffre-fort. Il ne lui faut que quelques secondes pour deviner que la petite clé est celle de ce coffre. Alors il l’extirpe du rayonnage de l’armoire, prend la clé et ouvre le coffre avec un peu de difficulté, causé par un léger grippage du mécanisme d’ouverture. Un gros livre épais parfaitement conservé par la protection hermétique du petit coffre-fort lui apparait. Sur ce livre à la reliure en cuir doré est écrit, à la plume d’oie, sur la belle couverture : ‘’Journal intime de la Comtesse du Dranier démarré en ...