Les animaux de Priape (2)
Datte: 05/05/2019,
Catégories:
Zoophilie,
De retour chez nous, je questionnai évidemment ma femme sur ce qu’elle avait ressenti. Elle me dit que, tant que lesdeux hommes l’avait sautée, elle n’avait éprouvée rien que de très normal encore qu’ils fussent tous les deux d’excellents coups et que la belle taille de leurs bites respectives l’avaient bien régalée. A la vue du chien cependant, elle avait senti une sorte de dégout et de panique, bien que l’air affable de l’animal la rassurât. Puis il avait commencé à lui lécher la raie et elle avait basculé dans un autre monde. La langue du clebs, était très longue, très forte, très agile. Elle était très lisse d’un côté, comme du satin, et très rapeuse de l’autre et procurait une sensation complètement inconnue. L’orgasme vint rapidement et, dès lors, elle ne s’appartint plus. Il lui sembla alors que le chien lui parlait intérieurement et qu’elle devait obéir à tout ce qu’elle devait faire. Elle me décrivit ses sensations répétées d’orgasmes, les frissons nouveaux, les délices inconnus encore, que l’animal avait provoqués en elle... une succession de pieds énormes dont on n’avait pas idée. Je décidai donc de la saillir sur le champ pour qu’elle me dise si elle ressentirait les mêmes choses. Je la montai en missionnaire pour mieux observer sur son visage ce qu’elle éprouvait. Je la défonçai sans aucune retenue. Il me sembla effectivement qu’elle s’éclatait plus que d’habitude malgré l’avalanche d’orgasmes qu’elle avait connue depuis quelques heures. Quand j’eus joui à mon ...
... tour, elle confessa que c’était plutôt mieux que d’habitude mais sans aucune mesure avec l’empreinte de jouissance laissée par lagrosse bite du chien dans sa chatte. La nuit, ma femme eut mal aux seins et au sexe. Il fallut convenir que, comme on nous l’avait dit, leur aspect avait changé. La vulve était plus épaisse et formait un relief légèrement prononcé sous la culotte de dentelle. Les seins étaient, de fait, beaucoup plus gros au bout de 48 heures. Ils débordaient du soutien-gorge. Nous décidâmes donc de retourner au temple de Priape. Comme la première fois, Pacôme vint nous chercher avec le même cérémonial de bandage sur les yeux. Mais, on nous sépara. Je me déshabillai et entrai le premier dans la chapelle où Pacôme, déjà revêtu de sa cape, m’attendait. Il me fit remonter sur le même siège et m’attacha. Je vis alors qu’on avait placé un gigantesque écran sous la voûte, sur le côté droit de l’alcôve dans laquelle se trouvait la statue de Priape. Puis la pièce fut plongée dans l’obscurité. Seuls des projecteurs envoyaient sur le matelas central une lumière très vive qui m’empêchait de voir tout ce qui se passait autour. Mais j’entendis comme des frôlements, des froufroutements qui indiquaient clairement que des personnes étaient en train de rentrer dans la pièce. Enfin Pacôme et Aldéric apparurent escortant ma femme. Il était évident que Pacôme bandait déjà sous sa cape. Il se recula légèrement, laissant Aldéric et Clara sous les projecteurs. Ils se tournèrent vers la ...