Les animaux de Priape (2)
Datte: 05/05/2019,
Catégories:
Zoophilie,
... chaque main. Pacôme s’essayait à lui forcer l’anus. Il y parvint sans trop de mal. Les uns après les autres, les mecs déchargeaient, dans les mains, la bouche, entre les seins, dans le trou de balle, partout sauf dans le vagin. Quand chacun avait arrosé ma femme, il ramassait sa cape au sol et disparaissait. Il ne resta plus que Pacôme et Aldéric, qui secouèrent leur chibre en cadence au dessus de ma femme, bouche ouverte et langue tendue pour recueillir dévotement le précieux liquide. Leurs couilles se vidèrent quasiment simultanément et leur semence se mélangea dans la gorge affamée de foutre. Pendant qu’ils éjaculaient les hurlements ne cessèrent pas, plus proches, toujours plus proches et très aigus. Quand ils se furent fait décrassé le nœud, ils s’écartèrent. Un cri animal, très puissant sembla venir de la chapelle de Priape, alors dans la pénombre. Ma femme se releva, et vint s’allonger sur l’autel. Les caméras, filmèrent en gros plan. Subjugué par l’image, je ne vis arriver la bête qu’au dernier moment. C’était effectivement une sorte de singe. Son visage était quasiment celui d’un babouin, mais avec les yeux plus écartés. Sa tête était très peu poilue comme le reste de son corps, à l’exception du dos, et de l’entre-jambes au contraire hyper velu; mais l’appareil génital était glabre. Il arriva à quatre pattes mais, quand il fut auprès de l’autel, il se redressa. Debout, il était plus grand qu’un gorille. Ses bras et cuisses étaient très musclés et son cul ne ...
... ressemblait pas du tout à l’énorme bulbe rouge de ses congénères mais bien à des fesses d’homme, bien rondes, fermes, musclés quoique plus petites. Son torse était noir, sculptural, les tétons proéminents. Les abdos ressortaient comme ceux d’un bodybuildeur avec un nombril saillant. Il se tenait presque comme un être humain mais les jambes plus fléchies et plus écartées. Ses mains et pieds comportaient cinq doigts qui me parurent très longs et fins. Il contemplait le corps allongé de Clara et la moule rouge qui apparaissait nettement offerte sous la très légère touffe depoils roux. La bite du singe, qui n’appartenait à aucune espèce que je connusse, m’apparut minuscule à l’inverse des couilles énormes qui avaient l’exacte forme de grosse poires, très enflées vers le bas, frappant les cuisses de leur masse et plus étroites vers la base du pénis. Celui-ci ressemblait à un petit tuyau rouge qui ne devait pas être beaucoup plus grand que mon pouce. Je me demandais bien ce qu’il pourrait faire avec un zizi pareil. Mais, le singe s’approcha et mit ses naseaux au dessus du sexe humide de ma femme frémissante. Il huma fortement. Alors son zob se métamorphosa. Il s’allongea en durcissant vers le bas d’abord puis se mit à prendre de l’épaisseur. Il commença alors à dessiner un arc qui commençait une belle ascension vers le ciel désormais. Le gland était tout petit, beaucoup plus étroit que la hampe mais le trou de pine était gros. Au fur et à mesure que le diamètre augmentait, de petites ...