Les animaux de Priape (2)
Datte: 05/05/2019,
Catégories:
Zoophilie,
... qui soutenait Priape s’enfonça un peu dans le sol de façon à ce que l’énorme zob fut à hauteur du sexe détrempé de mon épouse. Pacôme se mit à lubrifier le phallus de pierre et, quand cela fut fait, six mecs soulevèrent ma femme du sol, l’inclinèrent à l’horizontale et vinrent l’empaler sur la grosse bite figée qui entra comme dans du beurre malgré son énorme diamètre. Toujours portée par les types en érection, Clara se souleva pour attraper à deux mains le chibre qui la déchirait et ainsi mieux s’aider à glisser dessus. J’étais excité. Ma verge était dure à me faire mal et suintait abondamment. Je me dis que j’allais finir par jouir sans me toucher. L’écran me montrait en détail ce qui se passait pour mon épouse et je la vis devenir femme fontaine, sa chatte éclaboussant la statue alors qu’elle hurlait littéralement de plaisir. A ces cris répondirent d’autres hurlements animaux qui me parurent plus proches. Ma femme fut alors amenée sur le tapis central où tous les mecs vinrent la sauter. Ils étaient au moins une trentaine, de toutes les tailles et de toutes les couleurs. Je sus après qu’ils avaient été sélectionné en fonction de la dimension de leur sexe en érection (et il y avait de fort beaux morceaux) ou par rapport à la quantité de sperme qu’ils pouvaient répandre en une éjaculation. Aldéric distribuait les rôles. Cependant, un géant se détachait du lot, une marmule dont les mensurations me furent communiquées ensuite. Il mesurait 2,11 mètres pour 161 kilos et une ...
... queue de 20 cm. Ma femme paraissait minuscule à côté de ce monstre qui la monta en missionnaire. Les caméras avaient été coupées car elles ne donnaient rien d’autres que des vues de cuisses, de fesses, des fragments de corps de la foule de mecs en rut qui se pressaient sur le tapis. Néanmoins le cercle se fit autour du couple et, de ma hauteur, je pus assister à toute la saillie. Le corps de ma femme avait entièrement disparu sous la montagne de sexe qui la grimpait et je ne pouvais voir que ses jambes écartées allongées sur le sol et ses mains ouvertes à la recherche de biroutes turgescentes. Le gars y allait avec une belle ardeur arrachant à chaque fois que son nœud percutait au fond du trou, un cri de jouissance. Autour on se pignolait ferme. Le mec ne changea rien à la position et, avec une remarquable endurance il pilonna ma femme pendant une vingtaine de minutes, trop pour moi. Mon excitation étant à son comble, je jouis sans me toucher en longue saccades qui s’élancèrent pour me retomber sur le pubis ou les cuisses. Cependant, le type arrivait au bout et il se retira pour se cambrer de toute sa hauteur et lâcher des jets puissants. Il y eu un nouvel hurlement, au loin, répercuté par l’écho des voûtes. Les mecs en chœur applaudirent en criant comme des possédés : "Simia priapi, simia, priapi". Toujours ce singe de Priape... Mais je doutais qu’il s’agit d’un vrai singe. Ma femme était désormais à califourchon sur un zob monstrueux, avec un autre dans la bouche et un dans ...