1. Les animaux de Priape (2)


    Datte: 05/05/2019, Catégories: Zoophilie,

    ... excroissances, comme de minuscules boutons, apparurent sur toute la tige. La queue dressée, d’où s’écoulait un épais filet blanc, faisait au moins 25 cm et une circonférence de 18 à 19 ainsi que je pus en juger plus tard quand je fus plus près. Le singe glissa ses bras sous les genoux de Clara, et l’attira à lui en forçant les jambes à plier et en amenant ainsi la chatte au bord de l’autel, puis, d’un coup sec, il la pénétra. Clara cria et il me parut qu’elle s’évanouit. J’étais inquiet. Le singe allait et venait en elle avec lenteur, serrant fortement ses jambes et basculant sa tête en arrière en poussant des cris qui devaient correspondre à l’orgasme; puis il accéléra et l’écran afficha en gros plan le balancement de ses couilles comme deux gigantesques poids d’horloge. Ma femme bougeait la tête de droite et de gauche. Elle reprenait ses esprits. Elle allongea ses bras derrière sa tête. Ses seins étaient très durs et dressés comme des obus. Il ballotaient en une danse obscène dont le métronome était la bite qui luisait en sortant à chaque fois de la chatte. Puis le singe se mit à pincer les tétons. Il se pencha pour les bouffer et embrasser ensuite ma femme à pleine bouche. Son agilité lui permit de remonter ses deux jambes sur l’autel en donnant un grand coup de rein qui repoussa le corps de Clara au milieu de la table. Elle ramena ses genoux vers ses seins, soulevant ainsi sa croupe. Le singe humecta ses doigts et en planta deux dans le trou du cul. Il sortit alors son ...
    ... sexe de la chatte pourenculer cette fraîche rondelle. Puis, toujours penché sur elle, il se mit à aller et venir du cul à la chatte. Elle s’agrippait maintenant à son cou. Au bout de dix minutes il se retira et, la saisissant à pleines mains, il la retourna d’un coup pour la mettre sur le ventre. Puis il la prit par les hanches et releva ses fesses en arrière pour la monter en levrette. Elle avait les jambes pliées à 90° et tout le haut du corps posé le plus à plat possible pour bien tendre son cul à la bête. C’est là que s’exprima toute la souplesse de l’animal. De ses bras, il se cramponna solidement au bord de la table, puis, il ramena ses pattes vers l’avant, les passant sous le corps de ma femme et, en bon quadrumane qu’il était, il put ainsi lui agripper les nichons, de sorte qu’il était littéralement plié sur elle, son sguègue profondément planté en elle, captive entre son corps qui lui couvrait le dos et ses pattes qui lui comprimaient la poitrine. La scène était surréaliste, je me remis à bander. Le singe se déchainait; il la bourrait sauvagement et elle gémissait de plaisir. Grâce aux caméras et à l’écran, je ne perdais aucun détail de cette vigoureuse saillie et quand le singe éjacula, je vis la jute dégouliner abondamment de la chatte. Puisqu’il avait joui, le singe se retira. Sa quéquette avait déjà retrouvé sa taille minuscule. Alors il mit ma femme sur le sol, à genoux, et il fit disparaître sa petite tringle rose entre les deux nibards. Très vite, je revis ...
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