1. Je remplace ma soeur


    Datte: 22/06/2017, Catégories: f, fh, jeunes, inconnu, odeurs, Oral pénétratio,

    ... Sainte-Opportune. Il y avait un digicode en bas, voilà pourquoi je négligeais toujours de fermer ma porte à clef. Il n’y avait que des potes à l’étage et ils me laissaient tranquille. Delphine leur avait sans doute dit que j’étais une fille sérieuse, et même un peu coincée, attendant le grand amour. À la vérité, mes premières expériences avaient été si décevantes que je me débrouillais toute seule, voilà. Le jaloux regardait le lit. Ça lui donnait à penser. Il avait fait l’amour dans ce lit. J’y lisais un livre un peu cochon quand il est entré comme un sauvage. Il était 10 heures du soir. Delphine ne devait pas encore dormir. Pourvu qu’elle ne vienne pas dans ma chambre ! Il fallait qu’il parte en vitesse, le forcené. Mais il n’avait pas l’air d’en avoir envie, il a posé son pistolet sur la table, enlevé son imperméable et s’est assis sur une chaise. — C’était la mienne, quand on faisait la dînette, elle et moi. Il pleurnichait presque. Que faire pour le calmer ? Alors, machinalement : — Tu veux boire quelque chose ?— Oh non, j’ai pas le cœur à boire… Et puis si, tiens. Il y a toujours quelque chose dans la petite armoire ? J’avais apporté une bouteille de scotch, un jour.— Elle n’y est plus. Il n’allait pas fouiller dans cette armoire, quand même ! Il y avait dedans des choses qu’il n’avait pas besoin de voir, genre vibromasseur.Vibro, ma sœur, ironisait parfois Delphine. Il fallait que je me lève. J’ai sorti ma main droite de mon pantalon de pyjama que j’ai remonté ...
    ... discrètement et je suis sortie du lit. Il m’a regardée. J’ai cru voir que je l’intéressais. Je lui ai tendu une canette de bière que j’ai sortie du frigo. Il se lamentait, il en faisait des tonnes : — Oh la garce, la putain, me faire ça à moi !… Mais c’est pas vrai, me virer comme ça, par un SMS à la con ! Elle a quelqu’un, qu’elle m’a dit. Tu sais qui, toi ?— Bah non, tiens ! Elle est partie, elle m’a laissé sa chambre, voilà tout.— Putain, si je les trouve, ces deux-là, je les bousille ! Le terme m’a paru démodé, mais inquiétant. Ma pauvre grande sœur, bousillée dans la fleur de l’âge… Il m’a demandé une deuxième bière, je lui ai dit qu’il n’y en avait plus. Manquerait plus qu’il ait envie de pisser, et qu’il rencontre Delphine dans le couloir ! Mais comment le mettre à la porte ? Il s’incrustait, il n’arrêtait pas de parler : — Mais quel con j’étais, moi ! Je l’aimais, cette salope ! Mais c’est fini, c’est fini, j’l’aime plus du tout, mais alors plus du tout. Mais qu’est-ce qu’elle me reproche, hein, qu’est-ce qu’elle peut bien me reprocher ? Elle a profité que je sois en stage pour me faire ça, à moi ! Putain, elle le prenait pourtant, son pied, quand je la baisais comme un sauvage ! Ah la garce, la garce ! Dis-moi où elle est, que je la tue et l’autre con avec. Oui, dis-moi où elle est, cette salope !— Je t’ai déjà dit que je n’en sais rien. Elle est partie. Elle est loin, tu ferais mieux de l’oublier.— Ouais, t’as peut-être raison. Mais c’est dur, d’être plaqué comme ça. À se ...