1. Je remplace ma soeur


    Datte: 22/06/2017, Catégories: f, fh, jeunes, inconnu, odeurs, Oral pénétratio,

    ... flinguer. J’ai failli, d’ailleurs. Puis j’ai pensé qu’il valait mieux les buter tous les deux, alors je suis venu ici. Tu dois bien savoir avec qui elle est, hein, dis-le-moi !— Mais non, mais non, je t’assure. Il me regardait. — Toi, t’es une fille bien. C’est toi que j’aurais dû aimer. En plus, tu es jolie, tout compte fait. Et même mieux foutue que ta frangine. Tiens donc !Tout compte fait… Évidemment que je suis plus jolie qu’elle ! Mais trop coincée, voilà tout. Il s’est levé. Il tournait comme un ours en cage. Puis il s’est jeté sur le lit. — Putain, toutes les nuits que j’ai passées ici, à baiser cette salope pendant des heures ! Il est tiède, ce lit… Il sent bon. Ton odeur, Manon !— Tu connais mon prénom ?— Euh… Delphine m’a parlé de toi, un jour… Je peux rester un peu, un tout petit peu ? Tu ne vas pas me mettre à la porte, dis, quand même ? Il fait un temps épouvantable dehors. À moins que je demande l’hospitalité aux voisins ? Ah non, surtout pas ça ! Alors je lui ai dit qu’il pouvait rester, bien sûr. Il s’est aperçu que je frissonnais. — Tu as froid, t’aurais pas dû sortir du lit. Reprends donc ta place. Il s’est levé. Je me suis recouchée. Il s’est assis au bord du lit. Il a caressé mes cheveux. — Ils sont doux, tes cheveux… Ah oui ! C’est toi que j’aurais dû rencontrer, et pas ta garce de sœur… Elle m’a fait cocu !… Bon, ça arrive à d’autres. J’aurais pardonné, j’suis pas un monstre. À vrai dire, moi aussi, des fois… On a des désirs, hein ? Pas toi, peut-être. ...
    ... Delphine m’a dit que tu étais un peu bonnet de nuit. C’est vrai, ça ? Je n’ai pas répondu. J’avais envie de le consoler, ce grand dadais. Alors quand il m’a demandé s’il pouvait prendre une douche j’ai fait oui de la tête. Il s’est relevé et s’est dirigé vers le petit coin douche aménagé dans un angle de la chambre, juste à côté du lavabo. Il s’est déshabillé, a jeté ses vêtements sur une chaise et a pris sa douche. Je le voyais un peu au travers du vitrage opaque, une silhouette avec de jolies fesses et de larges épaules. Un physique de maître-nageur, disait Delphine quand elle me parlait de lui. Il s’est essuyé avec ma serviette de toilette et, pas gêné, totalement nu, s’est approché du lit sans même éteindre la lumière. — Tu me fais un peu de place ? J’te toucherai pas, va, si tu veux pas. Je me suis un peu poussée. Il s’est allongé à côté de moi. Nous sommes restés immobiles quelque temps. Puis une main est venue se poser sur ma hanche. Je ne l’ai pas repoussée. De la hanche, la main est allée sur mon sein gauche après avoir relevé mon haut de pyjama. Mon cœur battait follement. Quelques instants plus tard, elle s’est glissée sous mon pantalon de pyjama, cette main. Elle était tiède, douce et ferme. Le visage de Mathieu s’est approché du mien, ses lèvres de mes lèvres, qui se sont entrouvertes. Sa langue est venue dans ma bouche pour un baiser long et à vrai dire délicieux. Lui, au moins, il embrasse bien, ai-je pensé. Ses lèvres se sont ensuite intéressées à mes seins, ...