1. DÉBAUCHE AU VILLAGE


    Datte: 09/05/2019, Catégories: Dans la zone rouge,

    -- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS -- Depuis peu, ma colocataire et moi sommes installées dans une maisonnette de ce petit village du Cotentin. Notre aspect physique ne nous a pas permis la discrétion lors de notre installation. Mon amie est brune aux traits à peine dessinés. Femme enfant, ses fesses et ses seins sont arrondis et de dimension modeste. Son look androgyne conviendrait à un garçon pré pubère. Par contre, ses yeux d'un bleu profond rappellent sa féminité, sous une courte frange noir de geais. Quant à moi, mes hanches larges et ma généreuse poitrine viennent s'embellir d'une opulente chevelure d'un blond couleur de blés murs. Mes grands yeux noisette ne laissent pas indifférents. Notre arrivée s'est passée sans aucune difficulté, même si la cohabitation de ces deux femmes encore jeunes n'est pas sans intriguer les habitants. La saison de la chasse vient de commencer. Le maire, soucieux du lien social dans sa commune, nous invite à participer à l'ouverture. Devant notre peu d'empressement, il finit par transiger et nous convie exclusivement au banquet qui suivra. Le jour venu, nous nous parons de nos plus beaux atours et nous rendons à l'auberge forestière ou doit se dérouler la fête. Nous constatons, dès notre arrivée, qu'il y a beaucoup de bruit dans la salle. Les voix se mêlent et s'entrechoquent au point qu'elles sont pour tous inaudibles. Le maire vient à notre rencontre pour nous accueillir. Nos quelques premières connaissances du village ...
    ... nous saluent ou nous sourient. L'ambiance est électrique mais cordiale. L'apéritif dure plus d'une heure et les esprits s'échauffent. Lorsque le repas commence une majorité d'hommes semble à demi ivres et hors de contrôle. Tout au long du repas il se livrent à mille plaisanteries grivoises et nous sommes l'objet de nombreuses provocations indécentes. Après le trou normand, l'atmosphère se dégrade encore et un petit groupe d'hommes bien imbibés nous abreuve de quolibets : « à poil » crie l'un, « montre ton cul » hurle l'autre, « sur la table » dit un troisième. Lorsque nous essayons de nous éclipser, plusieurs d'entre eux se montrent insistants et nous faisons contre mauvaise fortune bon cœur. Nous sommes alors décollées de nos sièges par des bras puissants et posées debout sur les tables. Les autres femmes présentes essaient de se faire oublier. Elles desservent et disparaissent rapidement. Le maire, soucieux de sa réélection, et donc de ne froisser personne, quitte discrètement les lieux accompagné du curé . Ceci libère les mauvaises pensées des participants. De nombreuses mains commencent à s’immiscer sous nos vêtements. Lorsqu'elles rejoignent nos fesses un sentiment trouble fait de crainte et de plaisir nous submerge. Nos culottes sont prestement arrachées. Les mains excitées progressent sur nos peaux. Nos vêtements sont peu à peu otés et nos corps de plus en plus indécents. Chaque lambeau de tissu soustrait est salué par une clameur. Il ne leur faut que quelques minutes ...
«1234»