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DÉBAUCHE AU VILLAGE
Datte: 09/05/2019, Catégories: Dans la zone rouge,
... pour nous dénuder. Ils nous ont laissé nos chaussures et nous font tourner sur les tables en une danse obscène. Pour nous l'émotion est à son comble entre la honte et l'excitation. Nos sexes humides et nos corps à demi prostrés trahissent nos émois. Ils nous font chuter sur les tables. Une fois allongées nous sommes livrées à leurs paumes qui s'emparent de chaque cm² de notre peau. Nos fesses et nos seins sont pétris, nos cuisses écartelées, nos sexes et nos culs envahis. Terriblement excitées, et en même temps craintives, nous nous retrouvons à la merci de cette horde hystérique. Commence alors un outrage qui va durer de longues heures. Nous sommes tout d'abord installées au bout des tables pour que les phallus des chasseurs puissent se succéder dans nos vagins. Puis ils nous mettent à genoux au sol pour envahir nos bouches ; à quatre pattes pour déflorer nos culs. Toujours plus excités, ils envahissent les trois à la fois, tandis que certains se branlent au dessus de nous et éjaculent sur nos corps offerts. Aucun de nos partenaires ne s'est déshabillé. Ils sortent furtivement leurs organes en tant que de besoin. Nous sommes rapidement couvertes de foutre. Nos visages, nos dos et nos ventres sont les réceptacles de ces amas de semence devenue inutile. Nos cheveux et nos pubis sont englués. Et pourtant notre émotion est à son comble. Nous nous contorsionnons pour mieux offrir nos orifices. Nos cris trahissent plus la volupté que la peur; même si celle ci n'est jamais ...
... totalement absente. Heureusement, les convives les moins alcoolisés freinent les ardeurs de leurs congénères border line. Passé un premier moment de panique, je dois avouer que j'ai senti de nombreuses fois monter le plaisir. J'ai aussi entendu mon amie exprimer bruyamment ses orgasmes. J'ai signalé à mes amants ma jouissance par mille vocalises. Ce comportement nous a valu des attentions dont nous nous serions bien passées. Nos partenaires n'ont cessé d'être de plus en plus grossiers dans leur manière de nous parler. Des insultes fusent sans arrêt de leurs voix égrillardes dont les plus douces seraient « salope » ou « pute ». Lorsque les hommes, ivres d'alcool et de sexe, quittent l'auberge, quelques femmes viennent nous aider à retrouver figure humaine. Nous rentrons chez nous, nues sous des couvertures, étonnamment apaisées. Mais le pire nous attend encore. Dés le lendemain, les langues ont été bon train et, tandis qu'une majorité de femmes et d'hommes nous regarde de travers, les autres se comportent grossièrement ou nous insultent. « Tu veux encore que je te fasse jouir, cochonne ? Viens tâter ma bite, putain. T'es encore en manque, gros cul ? J'te ramone quand tu veux, sale gouine. » L'ambiance à l'épicerie est telle que le maire et le curé nous exfiltrent et nous raccompagnent à notre domicile. Nous devrions sans doute vivre ailleurs que dans le village ou nous n'apparaissons plus que pour nous enfermer chez nous. Si aucune de nous deux ne souhaite connaître à nouveau un tel ...