1. DÉBAUCHE AU VILLAGE


    Datte: 09/05/2019, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... traitement, ce contact charnel avec un groupe d'hommes nous manque. Rien ne saurait remplacer ces insultants et obscènes assauts. Après mure réflexion, nous nous décidons de faire un tri parmi nos tourmenteurs et de convier les plus « convenables » à quelques parties fines à notre domicile. C'est ainsi que nous avons pu, tous les vendredis en soirée, permettre à nos corps d'exulter. C'est aussi ainsi que nous avons constitué ce groupe d'amants qui a su nous protéger contre les femmes jalouses et leurs grossiers maris. Mais quel pied, chaque semaine d'attendre ainsi, dans des tenues indécentes, nos amis ! Quel plaisir de leur offrir nos orifices ! Quelle joie de jouir alors qu'ils nous prennent à plusieurs et font exulter nos corps et nos sens ! Le curé, le maire, le boucher, le notaire et bien d'autres sont de la partie. Pour leur plaire nous ne portons plus rien sous nos robes dans leurs lieux d'exercice. Il glissent leurs mains sous le tissu à chaque rencontre ou nous ordonnent de nous trousser. Nos seins sont souvent dressés et nos entrejambes fréquemment humides. Nos culs sont couramment ouverts et prêts pour la caresse. A notre arrivée, le curé nous enferme à la sacristie, le notaire dans son bureau, le boucher dans son laboratoire, le boulanger dans son pétrin. Et les scènes se répètent : nos culs sont défoncés, nos vulves et nos bouches envahies de sexes. Au printemps et en été, ils nous donnent rendez-vous en pleine nature et nous culbutent dans les fourrés et les ...
    ... taillis. Nous y trouvons le plaisir d'être en permanence aux aguets de l'arrivée de quelque promeneur indésirable. Notre plaisir en est précipité et plus violent. En hiver, nous fréquentons les arrières boutiques bien chauffées, toujours prêtes à nous dénuder. Pendant la chasse, nous savourons un repos bien mérité, sauf le vendredi au crépuscule... Et pour la première fois de nos vies, nous atteignons chaque semaine le plaisir suprême non sans nous y préparer chaque jour par notre nudité à peine couverte. Ainsi, nous sommes en permanence gagnées par l'émotion que nous procure cette éternelle exhibition où nos seins et nos culs sont libérés de toute entrave. Nous ne supportons plus pantalons et bustiers ajustés, culottes et soutiens gorges. L'idéal devient la robe trapèze portée sur nos corps nus qui procure la sensation d'être toutes entières exhibées. C'est parfois le cas lorsque nos amants, fiers de leur conquêtes montrent aux yeux de tous le détail de nos anatomies, vibrantes et ondulantes, le cul ou la vulve habités de leurs mains qui nous animent comme des marionnettes. Nous sommes à chaque instant, depuis le premier outrage collectif, habitées d'émotion et les sens en éveil. Le moindre effleurement nous met en transe. Nos corps ne sont plus que des outils destinés au plaisir charnel et en permanence au bord de l'orgasme. Tout le jour nous sommes ainsi électrisées et le soir, épuisées, nous nous endormons d'un sommeil lourd peuplé de fantasmes érotiques. Merci encore à tout ...