1. Tombé du Ciel


    Datte: 10/05/2019, Catégories: fh, jeunes, uniforme, campagne, amour, volupté, historique, ecriv_f,

    ... entre mes lèvres. La sensation était bizarre, mais j’ai continué à le chatouiller de la langue. J’avais maintenant l’impression de faire quelque chose de très sale et d’interdit. J’ai bien changé… Cela et son état m’excitaient énormément. Il se déhanchait doucement dans ma bouche, rayonnant, il me caressait les cheveux et me regardait, tout sourire. Après quelques minutes de ce manège il se retira. Il reprit sa place entre mes jambes en marmonnant des choses incompréhensibles dans lesquelles je ne discernais que mon nom, toujours suivi d’un baiser. Le regarder était comme un spectacle. Mais la chaleur de son sexe contre le mien me sortit de ma torpeur de spectatrice. Voila que cela poussait et m’ouvrait lentement, glissant délicieusement, mais l’espace d’un instant un pincement rendit tout mon corps raide, et rigide. Il le sentit et tout de suite s’arrêta. Ses yeux ont scruté les miens. « Is it your first time…? Realy ? » Je le regardais un peu échaudée de cette déplaisante sensation qui se perpétuait à l’instant même. «Premier ?» j’ai acquiescé. Visiblement, il ne s’y attendait pas. Quelques jours plus tard, dans mon journal, j’étais très fière de ce fait. Mais sur le coup, je croyais naïvement qu’il allait éclater de rire et m’abandonner là. Mais au contraire, il s’est penché sur moi et s’est mis à déposer de doux baisers dans mon cou, sur ma gorge. Les choses ont été soudainement très calmes pendant quelques instants. Puis il a recommencé à pousser. Le malaise a repris de ...
    ... la vigueur. Il y allait très doucement et j’eus la sensation que le pire était maintenant passé. La douleur avait atteint un sommet et s’était soudainement atténuée. Ne subsistait qu’une sensation de brûlure. Puis celle de quelqu’un d’autre en moi, maintenant loin en moi. Je ne sais pas combien de temps il m’a observée avant que je ne le voie finalement. J’avais les yeux grands ouverts, mais tout mes sens étaient soumis à cette sensation en moi, alors qu’il commençait à aller et venir doucement. Je me suis accrochée à lui. Je n’avais jamais rien ressenti de tel, à la fois paralysée par l’incompétence, par son corps sur le mien qui m’enveloppait, et traversée d’un bonheur intense d’y être. Je m’accrochais à lui, me suspendais même, et il restait imperturbable, seules ses hanches qui dansaient avec langueur contre moi, son corps dans le mien. Les minutes passaient, très intenses, longues, et le rythme perdait de sa douceur, m’arrachant des soupirs et des gémissements impossibles à réprimer. Lui aussi respirait fort, le visage enfoui dans mon cou, qu’il léchait et mordillait. J’aurais voulu qu’il continue pour toujours, mais ses gestes sont devenus saccadés et de moins en moins rythmés. Il disait tous ces mots à mon oreille, je ne comprenais rien, mais sa voix trahissait quelque chose comme un profond bouleversement. Je me retenais contre lui, fixant le petit bassin, puis le ciel, mais il me repoussa soudainement et se retira brutalement pour jouir sur mes cuisses. Son absence ...
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