1. Tombé du Ciel


    Datte: 10/05/2019, Catégories: fh, jeunes, uniforme, campagne, amour, volupté, historique, ecriv_f,

    ... soudaine était intolérable, je me sentais soudain ouverte et vide alors qu’une seconde auparavant cette chaleur en moi m’irradiait. Il s’est effondré à côté de moi, essoufflé, puis est venu m’embrasser profondément. Puis j’ai pris le temps d’évaluer les dégâts. Je pouvais voir de petites taches qui luisaient à la lune. Puis plus haut des taches sombres me firent paniquer. Je saignais. Il se rendit compte de mon agitation et m’a rassurée, fait comprendre que ce n’était rien de grave ou d’anormal. Je me suis essuyée les cuisses comme j’ai pu avec des touffes d’herbe. Puis nous nous sommes tranquillement remis en route. J’avais peine à marcher dans les sillons du champ. Mes jambes étaient molles. Il marchait près de moi et me soutenait, m’embrassant parfois à la volée. Je me sentais épuisée, mais si bien. Je ne remarquai même pas comment la maison était sinistre à cette heure de la nuit. Nous nous sommes dirigés vers ma chambre. Par réflexe, j’ai voulu fermer la porte de la salle de bains. Mais il m’a suivie. Et alors que j’ai voulu me laver il m’en a empêché et a lui-même nettoyé ma blessure. Je l’ai observé ce faisant, un peu gênée de cette inversion des rôles. Je ressentais encore ce léger pincement, mais j’avais pourtant très envie de recommencer. Alors que nous sortions de la salle de bains, je me suis pressée contre lui et l’ai embrassé. Il faisait très sombre, les volets ouverts laissaient entrer la fraîcheur de la nuit. Je me suis assise sur mon lit en l’attirant. Il ...
    ... m’a regardée d’un air interrogateur que j’ai soutenu avec un regard décidé. Il a souri. Nous nous sommes couchés et nous sommes embrassés pendant de longues minutes. Il avait repris ses caresses intimes et moi de même, nous ondulions l’un contre l’autre. Il me fit me retourner et saisissant une jambe pour la soulever, il se glissa doucement en moi, embrassant ma nuque, murmurant de douces paroles (en tout cas je crois). Il m’a prise comme ça pendant de longues minutes. J’étais nue entre ses mains, qui voyageaient sur mon corps, saisissaient mes seins et m’attiraient contre lui. Le silence avait pris le dessus. Encore une fois, je me prenais à espérer que ça ne cesse jamais. Que le mouvement de ses hanches, son ventre contre mes fesses et mon dos, se perpétue et laisse le plaisir qui m’envahissait grandir et grandir encore. À nouveau des gémissements m’échappaient, de ce même plaisir qui partait de mon ventre et cherchait à ressortir de mon corps. Il mit la main sur ma bouche, conscient du danger d’alerter les autres occupants qu’il préférait rencontrer dans d’autres circonstances, s’il le fallait. Ses mouvements étaient maintenant brutaux et rapides. Tout mon corps tremblait sous l’assaut. J’ai commencé à me caresser et il a suffi de quelques minutes pour que je ressente la profondeur d’un orgasme. Je lui mordis les doigts et c’est lui qui finit par crier. Ou peut-être était-ce parce que lui aussi venait de jouir une nouvelle fois, entre mes fesses, sur mes reins. Nous sommes ...