1. Bourgeoise remplie au sperme (2)


    Datte: 11/05/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... Et puis c’est pas pour mettre sur des réseaux sociaux. Mais, tout en parlant, je fatiguais. Pour continuer, nous dûmes à nouveau nous déplacer pour nous mettre au bord du lit, ce qui me permit de me mettre debout entre les jambes de Gurvan et , tout en pliant les miennes, de me placer de façon à en profiter au maximum. C’était géant. Je jurais tout ce que je pouvais, je claquais le cul de ma logeuse en l’insultant. Mon manque d’expérience fit que je ne résistai pas longtemps à ce train là. Je me raidis pour juter. Florian s’en aperçut : "Attends, attends, retire-toi, tu vas lui foutre à la gueule" ! Mais il était trop tard. Déjà mon gland palpitait sous la pression des violents jets de sperme que je propulsai dans les entrailles de la femme. "Pas de souci" dit Gurvan. "J’suis presque à point". J’extrayai ma bite, rouge et gluante, très fier de moi. Marie-Clotilde se releva. Elle savait ce qu’on attendait d’elle. Elle s’agenouilla pour recevoir la dernière giclée. "Ouvre la bouche" ! Quelques coups de poignet libérèrent Gurvan de sa tension mais il ne produisit que quelques gouttes d’une liqueur blanche et très épaisse et, comme il s’agitait beaucoup, il n’en tomba que très peu sur le corps, un peu sur les épaules et une larme sur une joue. Sans qu’il eut rien à demander, elle aspira la verge pour récolter ...
    ... les restes du précieux liquide. "Maintenant habillez-vous, on s’en va... toi aussi salope" ! - On va où ? - Vous connaissez Jules. J’lui ai dit de venir. Il est sacrément bien monté. Mais il a pas sa bagnole. Son paternel lui a pris. Alors ils nous attend chez lui. Il ramène deux ou trois copains.... Non, pas la culotte et pas le soutif... ni le chemisier. Que le tailleur" ! Nous fumes près en quelques instants. La jupe ne tenait plus que par les boutons et on voyait la cuisse apparaître par la fermeture-éclair déchirée. La veste de tailleur se refermait sur les seins mais elle en montrait plus qu’elle n’en cachait. "Où m’emmenez-vous" ? Demanda-t-elle ? - T’inquiète chérie, j’vais te guider. - Mais je ne peux pas sortir dans... dans cet état. -Reprit-elle, craintive- - C’est juste. Recoiffe-toi. Après on prend ta bagnole. Le temps qu’on traverse la cour, personne verra que t’as les nibards à moitié à l’air. - Mais qu’est-ce qu’on va faire ? - Y’a d’autres bites qui t’attendent quelque part. Des mecs qui savent faire couiner des truies comme toi. Et le temps qu’on y aille, j’aurais rechargé mes couilles ! - Et ma séance photos ? - Eh Gurvan, ta séance photo... tu crois qu’on peut pas la repousser un peu... y’a pas mieux à faire là ? ... si.... si... carrément....en route ! - Pour moi, ce sera en rut ! A suivre. 
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