Les réfugiés (2)
Datte: 11/05/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Les réfugiés 2 Participants Dr Ali Ben Jalloud le père 50 ans, une belle prestance, parlant couramment le français. Wouarda, la mère, Femme soumise à son époux de 45 ans. Alicia, l’ainée 21 ans, étudiante en lettres orientales à Beyrouth. Akim, 20 ans, étudiant au lycée technique en agriculture. Lilia, 18 ans la cadette vient de finir son bac. Jean Dutrou, Agriculteur, 49 ans, adepte de José Bovet. Viviane son épouse 48 ans. Julot son fils aîné 22ans prévu pour reprendre l’exploitation familiale. Lolette, la cadette 19 ans, un peu fofolle. Résumé : La famille Ben Jalloud, après un long périple à travers l’Europe arrive dans un village de la Beauce, accueillie par la famille Dutrou. Après quelques petites frictions culturelles, les deux familles commencent à bien vivre ensemble et les paires se mélangent un peu, on est à la veille d’une expérience échangiste voulue par les deux femmes. Le soir venant, les deux familles se retrouvent autour du dîner et cela papote dur, les enfants s’étant très vite mis au français. On assiste à des joutes verbales très intéressantes. Les adultes plus réservés, mais néanmoins tout aussi enclin à traiter leurs problèmes commencent à préparer la soirée. (et les femmes leur nuit coquine) — Prochainement, pour la suite des récoltes, il y aura des ouvriers temporaires, est-ce que cela vous gênerait si on réunissait les deux familles dans le bâtiment principal et qu’on laisserait le bâtiment actuel où vous êtes logés aux nouveaux venus. Je pense ...
... qu’on est suffisamment proche pour le réaliser, propose Jean. — Pour moi, c’est tout à fait ok répond Ali. — Pour nous aussi répondent les enfants. — On déménage ce soir, demande Wouarda qui a peur que son plan tombe à l’eau. — C’est une excellente idée remarque Viviane qui voit tout de suite l’intérêt de la chose. Les hommes et les enfants déménagent les affaires et nous avec Wouarda on prépare les chambres. C’est ainsi que les deux familles sont réunies sous le même toit, la famille Ben Jalloud au 2ème étage et les Dutrou au premier. La nuit étant déjà bien avancée, les enfants sont envoyés au lit à 10 h environs, la journée de demain s’annonçant longue et pénible. Les adultes se réunissent au tour d’un dernier verre et exceptionnellement, Ali et Wouarda prennent un alcool, pensant que s’il fait nuit, Allah ne voit pas, surtout qu’on a baissé les lumières. Ali et Liliane ont sorti leurs instruments de musique et les deux ont interprété la messe en Si dure et non pas en La molle. Wouarda et Jean sont assis l’un à côté de l’autre et subitement, Wouarda saisit la main de Jean dans la sienne : — C’est beau à entendre, si différent de notre musique, dire que c’est une musique religieuse et dans la nôtre on est loin d’atteindre une telle intensité. Nos anges sont moins beaux que les vôtres. — Je croyais que c’était le même Dieu. — Certainement, mais je commence à penser qu’il y a plus d’amour dans la vôtre que dans la nôtre. — Nous avons eu aussi nos périodes sombres, par exemple, ...