Les réfugiés (2)
Datte: 11/05/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
... pubis qui sont des véritables appels au viol, sans dépasser une certaine limite, elle captive son public — Viens Viviane, essaye ! Viviane commence aussi à se lancer dans cette danse oh combien érotique. Son mari voyant ce qui se passe, a la bave qui lui coule au coin de la bouche et son pyjama ressemble à un chapiteau de cirque. C’est à ce moment là qu’ Viviane lance : — J’ai oublié de dire que dans trente secondes, il y a une panne de lumière générale annoncée par EDF. J’espère qu’on retrouvera nos pénates. — Quoi, disent les deux hommes un peu surpris. D’un coup la lumière s’éteint et les deux femmes mettent en pratique leur plan, Viviane monte à l’étage et Wouarda reste sur le même étage et se dirige vers la chambre de Jean et Alicia. Jean jurant comme un charretier trouve finalement ses repères et son lit, il se tourne vers celle qu’il croit Viviane. — Tu m’as épatée ce soir, j’ai une trique, viens, mets-toi sur le dos. J’ai envie de toi. — Hmmm. Répond Wouarda, ne voulant pas se trahir trop tôt. Récit de Wouarda. J’étais prévenue, Jean ne fait pas de préliminaires. Heureusement qu’on a un peu joué avec Alicia et que ma moule est prête. Ça y est, il est sur moi, Oh le monstre qu’il m’enfile à sec, normalement, il faudra que je l’éduque un peu, Ouille, d’un coup jusqu’au fond sans transition. Je la sens bien cette bonne grosse queue et en dessous, ses billes de billard qui frappent mes cuisses. C’est bon, je vais me laisser aller dans un premier temps après il faudra ...
... que je lui fasse compléter. Il lime bien par contre, je me sens partir, cela doit être l’inconnu et dire que mon mari fait de même à l’étage, j’aimerai bien savoir demain. Tiens, il commence à me titiller les seins c’est bon, il n’est quand même pas complètement ignorant, ses grosses mains sur mes seins, c’est quelque chose, il palpe sans trop de délicatesse. Tiens, il descend sa main dans mon entre jambe. Aie, le moment de vérité. Récit de Jean. Qu’est-ce que ces femmes qui m’ont excité au maximum ont encore inventé. Couper le courant. Avec ma trique qui tape de partout, c’est pas vraiment facile. Voilà mon lit, il faut que je me décharge, que je décompresse toute cette excitation qui est en moi, je demande à Alicia de venir que je puisse la couvrir. Voilà, j’y suis, j’ai l’impression qu’elle est plus étroite que d’habitude, mais c’est vraiment bon, chaud et bien humide, je vais lui tâter un peu les nichons pour qu’on vienne ensemble, c’est toujours meilleur. Bizarre, je n’ai pas l’impression de connaître cette poitrine, les seins en poires de mon épouse ne sont plus en poire, c’est quoi ça. Je glisse ma main sur son pubis pour caresser un peu son bouton, même si elle m’a l’air de prendre un pied du tonnerre. Mais où est donc passé la douce forêt de mon Alicia, il n’y a plus rien, elle a dû faire les foins. Ou bien.... J’ai un doute. Ne serait-ce pas que nos femmes ont changé de partenaires sans rien nous dire ? Jouons le jeu comme si je n’avais rien remarqué. J’y prends un ...