Les réfugiés (2)
Datte: 11/05/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
... cette messe a été composée par quelqu’un qui n’était pas de notre religion, mais de la religion réformée qui n’a pas de messe, mais des cultes. Qu’est-ce qu’on s’est battu il y a quelques siècles pour des interprétations différentes. — Tout comme la nôtre, il n’y a pas un Islam, mais beaucoup, avec deux grandes tendances qui ont été décidées plus par politique que par religion. Sur ce, elle appuie sa tête contre l’épaule de Jean, se laissant un peu aller, l’alcool aidant quand on n’a pas l’habitude. — J’aime bien quand tu t’appuies contre mon épaule et que je sens le parfum de tes cheveux noirs. De l’autre côté de la pièce, Ali lève un œil un peu curieux en voyant sa femme, la tête appuyée contre l’épaule de Jean et se tourne vers Viviane : — Ils sont mignons ces deux là, heureusement que je ne suis pas jaloux comme la plupart de mes concitoyens. — Moi non plus, s’ils trouvent un moment de bonheur en écoutant cette musique sublime. Mais j’aimerai aussi bien un petit câlin. — Je vois qu’on en revient à notre discussion de l’autre jour, ce soir, cela a bien évolué. À ce moment-là Wouarda remarque : — Il fait horriblement chaud, que penseriez-vous de se mettre déjà en tenue de lit et on se retrouve dans un moment ici pour continuer notre soirée, on aurait moins chaud. — Bonne idée, j’ai aussi très chaud, on pourrait aussi se rafraîchir sous la douche si les enfants nous ont laissé un peu d’eau chaude. C’est ainsi que les quatre se retrouvent un peu plus tard dans le salon et ...
... Viviane demande : — Wouarda, on vous a joué un extrait de notre musique, mais à savoir en Syrie, votre spécialité, c’est la danse et j’ai toujours rêvé de l’apprendre. — Je veux bien te montrer comment cela se danse, je pense qu’Ali peut jouer la musique arabe aussi bien que l’occidentale, mais je n’ai pas mis les vêtements qui conviennent. Il faut que je me change et si tu veux apprendre, il faudra aussi que tu te changes chez moi, je dois avoir ce qu’il faut. Attendez-nous. — Mais je pense que les hommes dansent aussi séparément et que ce n’est pas la même chose, Jean, tu ne serais pas intéresser d’apprendre, je tâcherai de comprendre leurs musiques et me mettrait au piano. — au violon, c’est aussi bon. — Est-ce qu’il faut qu’ils se changent aussi ? — Non, je pense que s’ils enlèvent la veste de pyjama, cela pourrait aller. Attendez-nous, on revient. Les deux femmes se retrouvent dans la chambre de Wouarda et Ali pour se changer et naturellement, il y a une bouche et un sein qui par hasard traîne sur le passage, quand ce n’est pas une moule qui écope pas un petit coup de langue. — Tu penses que notre plan va marcher ? Demande Wouarda. Comme c’est parti, c’est 50 50. — Là, comme cela, cela va ? — oui, c’est parfait. Je m’habille maintenant pour commencer. Les deux femmes, excitées comme des puces sur le pubis d’un SDF, redescendent au salon. — Ali, joue-moi la musique de Sadie Marquard — Avec plaisir mon trésor. Elle se lance et avec une suite de déhanchement, de mouvement du ...