Confession à la cathédrale Sainte Gudule.
Datte: 12/05/2019,
Catégories:
Lesbienne
... lunettes, que je vois vos yeux. Faites vite, nous n’avons que peu de temps. Ce qu’elle fit d’un geste délicat, timide même, rangeant sa paire dans l’une des poches du trench. Elle baissa la tête, habituée à être soumise et à ne pas regarder son patron dans les yeux. Je remontai son joli visage vers moi en lui soulevant délicatement le menton, elle rougissait. —Venez, suivez-moi!Je lui pris d’autorité la main, profitant d’un court instant où aucun touriste n’était dans les parages. Elle bondit presque devant moi, je la poussai dans le cagibi, refermant la porte un peu brutalement, ce qui provoqua un bruit sourd. J’attendis quelques secondes pour m’assurer que personne ne venait. Je coinçai de ma botte gauche la porte qui ne fermait pas totalement. Je la retournai, je la voulais d’abord de dos. Elle ne prononça pas un mot. Si, un seul. —Merci. Ca m’excita encore plus, comme si j’avais besoin de ça. Je lui pris les poignets, posant ses mains au-dessus de sa tête pour qu’elle se tienne face contre le mur du fond, arquée, le cul offert. Je verrai plus son cul que son visage en fait! Sa position était semblable à celle d’une équerre, quasiment à angle droit, son cul dirigé vers moi. Je lui écartai les jambes avec mon pied droit, comme un flic ferait lors d’une interpellation et avant une fouille corporelle. Je commençai à la caresser par dessus son imper, puis lui desserrai sa ceinture pour libérer le mouvement de ses habits. Elle avait mis une robe claire, en laine. Il ...
... faisait frais à Bruxelles. Très vite, car le temps pressait, je passai mes mains sous sa robe, que je soulevai pour libérer son cul rebondi dont j’apercevais la beauté malgré le clair-obscur du lieu. Une douceur prête à endormir les enfants et à réveiller leurs parents. Une douceur enivrante, rassurante, faite de courbes parfaites et légères, comme une colline qu’on gravit sans peiner, avec joie de découvrir le sommet promis. Evidemment, à ma demande expresse, elle ne portait pas de sous-vêtements. Ni culotte si soutien-gorge. —De toutes les façons, m’avait-elle confié, mes nichons sont assez petits. Jolis, ils tiennent bien, en pointe. Mais petits. Et vous, comment sont vos nichons? avait conclu cet échange. En guide de réponse, je lui avais envoyé une photo de mon corps nu, allongée à la plage, au soleil. —Vous êtes si appétissante, avait été son retour. Elle se dandinait, effectuait des mouvements lascifs, dodelinait de son cul comme les petits chiens le font de leur tête à l’arrière des voitures. Mon dieu que j’avais envie d’elle à ce moment. Que je voulais mordre ce cul-là, le fesser, le caresser, le lécher, le griffer. Je voulais que ce cul soit à moi pour le restant de mes jours. Son trench et sa robe étaient remontés sous ses bras, et je me baissais un peu pour l’embrasser dans le dos tout en malaxant de mes deux mains ses seins, ses hanches, son ventre et le haut de son sexe. Je découvrais ses territoires devinés sur les photos, imaginés, rêvés, déjà embrassés ...