1. Confession à la cathédrale Sainte Gudule.


    Datte: 12/05/2019, Catégories: Lesbienne

    ... presque terminé, elle posa ses lèvres charnues sur mon sexe, et commença avec ardeur à me lécher. Elle était sous moi, je me tenais à mon tour au mur du fond, les jambes écartées, la tête en arrière, avec une envie de crier, une envie de jouir, une envie d’exploser. Vite. Je n’en pouvais plus de savoir cette chienne me travaillant de sa langue. Elle aussi se servait de la pointe de sa langue. Je fus obligée, tant le désir était puissant et irradiait dans tout mon ventre, de lâcher le bord de la porte. Je ne pouvais pas être partout.La porte s’entrebâilla légèrement, laissant filtrer un jais de lumière. Ice léchait à la perception. Mon orgasme vint rapidement, trop peut-être. Je ne pus empêcher un léger cri de sortir de ma bouche. Je lui pris la tête entre mes mains pour lui faire recommencer son oeuvre. Je voulais jouir une deuxième fois. Elle accéléra, bonne petite travailleuse qu’elle était. Sur mon premier orgasme, elle en déclencha un second si puissant que je m’écroulais sur elle. Entraînant dans ma chute une chaise posée en équilibre instable. Provoquant un bruit conséquent. Quelqu’un ouvrit la porte. Moi, j’étais en train de remonter mon pantalon, comme l’aurait fait un homme après une pipe. Ice riait de la situation. Je me retournai. ...
    ... Je vis alors un prêtre, pas très grand, presque trapu, barbu. Effaré de nous trouver là, dans une position pour le moins explicite. Sous sa robe de bure sombre, il était indéniable qu’il bandait. Depuis combien de temps nous observait-il? Le téléphone d’Ice sonna. C’était son mari qui donnait le signal de la fin de notre rencontre. —Je dois absolument partir, je suis désolée. Sinon, ce soir, je vais dérouiller et je ne vais pas pouvoir m’asseoir pendant plusieurs jours. —Pars vite. Partez vite. Je ne sais plus si je dois te tutoyer ou vous vouvoyez.Je l'embrassai sous l’oeil du curé qui n’avait bougé. Ice quitta le cagibi. Je l’aurais bien accompagnée pour tenter une nouvelle fois de la baiser, peut-être dans sa voiture. Mais je m’en serais voulue qu’elle soit corrigée à cause de de ma désinvolture et de mon égoïsme. Elle partit, marchant à toute allure. Je matai le prêtre, qui n’avait toujours pas bougé. Ni débandé. —Mon père, ce que je viens de faire, avec cette jeune femme, c’est absolument inexcusable. Je voudrais me confesser. Pouvez-vous entrer et écouter mes pêchés? Je lui pris la manche, l’attirant à moi. De mon pied gauche, à nouveau, je bloquai la porte.FINPour tous renseignement concernant l'auteure ou moi : mia.michael@hotmail.fr 
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