Il en avait une belle 2/2
Datte: 12/05/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... fesses tendues vers le soleil, et bientôt vers lui. Mes doigts astiquaient son mât de cocagne fin prêt à faire la fête, à ouvrir le bal. La chaleur, l’ambiance, le calme... tout concordait. — Encule-moi, s'il te plaît. implorais-je entre deux coups de langue. — Tes ordres sont des désirs ! Je sentis couler entre mes fesses un filet de salive, puis il quitta ma bouche pour enjamber le matelas. L’instant suivant, son gros bout s’aplatissait sur ma fleur, je tendis les fesses vers lui, acceptant mon sort sans aucune résistance autre que physiologique. Il fléchit les jambes, faisant de mon anneau une dépression, puis je forçai et l’ourlet céda. Aidé de sa salive, son dard foulait ma chair en m’arrachant un long cri, mélange de douleur, d’abandon et de satisfaction. Ses pouces m’écartelaient et je savais son regard planté sur ce si beau spectacle. Après un court temps d’accoutumance, son vît plongeait en une lente poussée linéaire jusqu’à ce que ses cuisses embrassent l’extérieur de mes fesses. Le souffle coupé malgré ma bouche grande ouverte, les doigts tétanisés dans le tissu de ma couche, je sentis ses lourdes couilles terminer leur course en dessous de mon anus. Fin de la première manche. Immobile en mon sein, je me cambrai et oscillai pour donner vie à notre coït. Son gland semblait encore plus gros que la veille et il fallait m’y habituer, j’en fis un défi. Guy apprenait très vite et son leitmotiv était d’en profiter un maximum. Tout comme moi, d’ailleurs. Il vint ...
... lentement me recouvrir de son buste et entreprit de me distiller de petits coups de bite en profondeur, ne reculant que de quelques centimètres. Dans cette position, je sentais ses couilles velues glisser et s’écraser à chaque fois que son membre me perforait. Il semblait rebondir sur mes fesses en prenant à chaque trajet un angle différent. Je lui contais le bien qu’il me faisait, lui interdisant seulement de jouir en moi. Son foutre, je voulais le boire. Mon ventre se contractait pour comprimer ce membre arrogant qui glissait de plus en plus amplement, au point de sentir le bourrelet de son gland frotter. Nos sueurs se mêlaient le bas de mon dos collait bruyamment à son ventre. Il n’hésitait pas à jouer les sprinters quelques secondes pour revenir à un rythme plus langoureux. Je mordillais ses doigts, les suçais parfois, les yeux piquants de transpiration. En nage, je relevai les genoux pour lui présenter ma croupe en levrette. Mes fesses devinrent des pare-chocs et il me tringlait bon train, propulsant son boulier contre le mien jusqu’à ce que je les lui agrippe. La nuit nous avait redonné des ressources, nous les exploitions. Il me sauta ainsi encore un long moment, manipulant mes jambes pour me changer de position et me pénétrer toujours plus intensément. J’adorais offrir mes fesses à ce bel étalon, mais il me fallait calmer le jeu. Nos corps étaient en feu, ma vessie se transformait en bain à remous et une douche s’imposait. Je m’éclipsai quelques minutes vider ma vessie et ...