1. Il en avait une belle 2/2


    Datte: 12/05/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... m’envoyer une bonne dose de vaseline afin de graisser la mécanique. Je le retrouvai sous la douche de la piscine et vins me coller à lui sous le jet bienfaiteur. — Tu veux encore de ma queue ? demandait-il en prenant ma fesse à pleine main, à la façon d’un mâle sûr de son effet. — Oh que oui ! fis-je en sentant ses doigts glisser dans la vaseline. — Hummmm... Tu as préparé ton terrain de jeu ? — Là, tu vas pouvoir t’exprimer. Il proposa d’essayer dans l’eau et je trouvai l’idée sympa. Je l’avais fait plusieurs fois, mais qu’avec des femmes. Aucun homme ne m’avait pris dans l’eau et j’étais curieux de découvrir cela avec lui. Allongé sur les marches, son périscope pointé vers les cieux, je le chevauchai en lui faisant face avant de nous laisser glisser dans l’eau fraîche. Baiser dans l’eau est sans comparaison, les mouvements sont si amples. Il s’agissait plus d’un délire qu’autre chose, où le seul réel plaisir était de nager tout en étant empalé. Je calai finalement mes bras sur la margelle pour qu’il puisse “tendrement m’aimer”. Il se montra si efficace que je finis par m’accrocher à son cou pour le sentir au mieux. Mes fesses dans ses mains, il me lamina si bien la prostate que je finis par être foudroyé par un puissant orgasme au milieu des vagues que produisaient nos ébats. Je criais mon plaisir, mordant son épaule en lâchant mon sperme contre son ventre musclé en serrant sa queue de mes multiples spasmes. Il me tint encore longtemps contre lui, me chuchotant qu’il ...
    ... adorait baiser avec moi. Il m’allongea lentement dans l’eau et je restais ainsi, faisant la planche, encore habité par son sexe. Mon calme revenu, je me libérai de son emprise et le remercier en caressant sa verge et ses bourses. L’eau, elle, m’obligeait à serrer les fesses, n’étant plus étanche, mais je m’en fichais éperdument. Fin de la seconde manche. Je craignais qu’il soit frustré et lui proposai de venir dans ma bouche, mais il m’assura ne pas être pressé de jouir et qu’une sieste crapuleuse nous ferait le plus grand bien. Je lui assurai mon entière coopération et nous sortions de l’eau. Mon Dieu qu’elle était belle, grosse, luisante de vaseline, bandée au 3/4... Une bouteille de rosé bien fraîche, une salade et des grillades furent notre repas, dans la plus grande décontraction. Il ne revenait encore de la chance que nous avions et j’en convenais aisément. Je lui racontai qu’avec mes partenaires réguliers, j’étais véritablement mouillé à l’idée de me faire prendre et qu’avant de partir draguer, je faisais “le ménage” afin d’être toujours propre. La discussion entretenait notre excitation, le café réveilla notre envie de sieste et ma cigarette terminée, j’attendais mon pousse-café. Même entièrement au repos, ses organes me liquéfiaient et je ne pouvais laisser mes mains tranquilles. Allongé sur le lit, Guy m’intima de me laisser faire. Il prodigua sa première fellation, avalant mon sperme jusqu’à la dernière goutte. Comblé, je savourai ma chance, goûtant abondamment au ...
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