1. Sophia d'Antipolis


    Datte: 13/05/2019, Catégories: fh, Collègues / Travail amour, revede, Oral

    ... croquer, son ventre tout doux, ses jambes soyeuses et son triangle étrangement barré un petit trait vertical tout sombre. — Ne… ne me regarde pas comme ça !— Tu es belle, très belle et je veux t’admirer !— Tu… tu ne devrais pas ! Toujours est-il qu’elle lance ses bras autour de mon cou et m’attire impérativement à elle, me planquant sur son corps brûlant ! Nous roulons sur le lit, nos lèvres rivées, nos peaux soudées. Puis, tout à coup, nous nous séparons, haletants, manquant d’air. Elle est allongée sur le dos, bras en croix, je me redresse, m’agenouillant auprès d’elle, la caressant délicatement. Elle me sourit d’une façon étrange… Je ne cherche pas à comprendre, je me jette littéralement sur elle pour lui faire subir à présent plein de bonnes choses que j’aurais dû faire quand je suis arrivé, il y a trop longtemps, à Nice ! Ne jamais remettre au lendemain ce qu’on peut faire tout de suite, surtout côté sexe ! Cette maxime vaut aussi pour la programmation, mais là maintenant, je n’ai absolument pas l’esprit branché ordinateur ! J’ai bien autre chose en tête et surtout entre mes mains et sous mes lèvres ! Sophia est complètement offerte à mes caresses, à mes baisers, et j’en profite ! Car je n’ai absolument pas envie de me freiner ! Cette femme, je la désire trop, j’ai trop envie de la posséder, de l’avoir à moi, complètement. Oui, j’ai déjà désiré des femmes, mais jamais à ce point, comme si ma vie en dépendait ! Ma bouche gobe ses tétons, mordille ses seins, se niche sous ...
    ... ses globes laiteux puis, insatiable, elle couvre de baisers embrasés la plaine de son ventre pour venir ensuite à l’orée de son pubis luisant. C’est alors que je lève le nez pour admirer le spectacle de son sexe entrouvert, surmonté d’une fine bande de poils pubiens, telle une flèche qui m’indique la marche à suivre… Avec une évidente satisfaction, je constate qu’elle mouille déjà, et capturé par ses effluves troublantes, je m’empresse d’aller honorer de ma langue une si jolie fente ! À peine ai-je commencé à goûter à son intimité tout humide qu’elle soupire bruyamment d’aise ! Sadiquement, je prends mon temps, je glisse, je fouille, furetant, creusant ci et là. Elle se cabre, elle gémit, elle adore. Moi aussi, j’adore le goût de sa cyprine et je ne me gêne pas pour la boire, lapant en elle du creux de ma langue sa liqueur blanche. Puis, sans prévenir, j’attaque son petit bouton rose qui me nargue depuis tout à l’heure ! Elle pousse un petit cri rauque qui m’excite plus encore ! Comme secouée par des décharges électriques, son corps, ses membres tressaillent, son ventre palpite, sa fente se détrempe plus encore, ruisselante, telle une source. Assoiffé, je bois tout, détrempant son clitoris turgescent et ultra-sensible. À chaque coup de langue que je donne vicieusement, elle se cabre, hululant des cris étranges, comme brisés, cassés. Soudain, elle repousse ma tête, m’empêchant de continuer à la torturer ainsi : — Viens ! Je relève la tête, elle répète, impérative : — Viens ! ...