Sophia d'Antipolis
Datte: 13/05/2019,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
amour,
revede,
Oral
... ? Peu importe, je veux tout, je mettrai le temps qu’il faudra mais tout sera à moi, possessivement, absolument ! — Pas ici, quand même ! gémit-elle. Comment ça, pas ici ? C’est alors que je réalise que nous sommes sur un boulevard en bordure de mer, elle plaquée contre un réverbère et moi qui mets mes mains et mes lèvres partout sur son corps frémissant. — Peu importe ! dis-je imperturbable, sans ôter mes mains de ses courbes, ni mes lèvres du creux de son cou si tendre. Soudain, pris d’une inspiration subite, je la soulève sans effort dans mes bras telle une enfant, puis je dirige posément avec mon précieux fardeau vers la plage. — Vous… vous faites quoi ?— Je fais ce que j’aurais dû faire dès le premier jour ! Et sans lui laisser le temps de répondre, je l’embrasse, bien décidé à me laisser embraser complètement et me brûler les ailes, peu importera la suite. Carpe diem, c’est bien ce que j’ai envie de faire, profiter de l’instant présent, profiter d’elle, tout lui prendre, tout lui donner ! Je ne sais pas combien de temps s’écoule, je ne connais rien d’autre que la chaleur de ses lèvres, leur douceur, leur goût sucré ! Je me contrefiche du sable qui voltige sur nos visages, dans nos cheveux, qui s’introduit dans nos vêtements ! Rien ne m’importe plus que Sophia. Je n’y tiens plus ! Après avoir ôté, je ne sais comment, les boutons de son chemisier, je plonge, nez en premier dans son décolleté, ma bouche désirant à tout prix goûter ces fruits ronds et sucrés, croquer ...
... dedans sans réserve ! Elle gémit, tressaille un peu, mais me laisse faire, ce qui m’enhardit un peu plus. — N… non, pas ici, quand même ! proteste-t-elle faiblement.— Et pourquoi pas ? Écartant du bout du nez un bonnet de son soutien-gorge, je capture alors son téton que je torture aussitôt, elle gémit de plus belle, j’adore ses petits bruits incongrus et si excitants ! Peu après, c’est sa poitrine nue et frémissante qu’elle offre à mes baisers voraces et ma bouche carnassière ! — Non… non, pas ici ! Allons chez moi ! murmure-t-elle.— Ah non, tu serais capable de m’échapper ! Et ça, ma mignonne, il n’en est pas question !— Tu… tu ne crois pas que… que ça ne serait pas nettement mieux dans… dans mon lit ? C’est vrai que c’est un argument de poids ! Aussitôt dit, aussitôt fait, je la soulève dans mes bras, et sans plus attendre, je galope vers son appartement, tandis qu’elle tente tant bien que mal entre deux baisers fougueux, de refermer son chemisier et de remettre un peu d’ordre dans ses cheveux. Quelques passants nous dévisagent curieusement, certains intrigués, d’autres plus souriants, mais je n’en ai cure ! Tant pis si ma réputation est grillée dans ce quartier ! Je ne sais plus trop bien comment j’ai réussi à ouvrir la porte, ni comment nous avons atterri dans son lit, mais c’est avec fébrilité que j’enlève tous ses vêtements sans me soucier d’où ils peuvent voltiger ! C’est avec une passion renouvelée que je découvre les moindres courbes de sa mignonne anatomie, ses seins à ...