1. Un plaisir comme un autre (1)


    Datte: 13/05/2019, Catégories: Erotique,

    ... l’ourlet encore clos. Mais dès sa nouvelle ascension, les deux lèvres s’étaient entrouvertes, légèrement entrebâillées et suintantes de rosée. La suite s’accommoda des scènes de plus en plus osées du film. Le duo féminin avait à sa disposition quelques joujoux qui faisaient défaut à la brune. Elle quitta une minute son divan pour se diriger vers la cuisine. Elle prit un verre d’eau, fouilla dans un tiroir, puis ouvrit le réfrigérateur. La chose rouge et longue dont elle se saisit ferait l’affaire ce soir sans doute. Elle ouvrit le robinet d’eau chaude, passa sous le jet la chose et attendit qu’elle soit bien réchauffée. Après l’avoir essuyé consciencieusement, elle revint devant son téléviseur. Les affaires de la rousse et de son amie n’avaient guère évolué. Un long phallus de latex allait et venait, formant comme un pont entre les deux femelles. Elles se donnaient de langoureux baisers, alors que le faux sexe disparaissait dans les entrailles des deux donzelles. Les fesses des deux demoiselles se trémoussaient doucement, au rythme des mouvements lascifs qu’elles opéraient l’une et l’autre. D’une main tremblante Louise ouvrit la pochette récupérée dans le tiroir. Elle fit glisser lentement la capote sur le légume qu’elle maintenait dans son autre main. Ainsi emmitouflée, la carotte longue et relativement de bon diamètre fut approchée de la bouche entre les jambes de Louise. D’abord, elle la fit coulisser sur les lèvres, suivant ainsi le même chemin que son majeur ...
    ... précédemment. N’y tenant plus, devant les deux autres qui maintenant léchaient chacune le bout de latex que l’autre avait enfoncé dans son vagin, la brune appuya très lentement sur son jouet improvisé. Cette queue d’un genre spécial entra sans difficulté dans la brèche entrouverte. La mouille abondante qui perlait du sexe permit l’entrée sans douleur de cette bite qui ne risquait pas de débander. Louise eut comme un hoquet, c’était trop bon. Pourquoi avait-elle attendu tellement de temps pour redécouvrir de telles sensations ? Elle lova au plus profond de son ventre cette bite qui, elle, ne prendrait jamais la fuite. Les mouvements de son poignet lui rappelèrent qu’elle avait fait l’amour avec force… mais c’était… il y avait bien longtemps ! Les cris des deux gouines sur leur lit se mêlèrent aux soupirs de Louise. Elle jouit presque avec elles, sans les quitter des yeux. Ce fut si violent qu’elle lâcha son ersatz de sexe fiché en elle. Ses longues cuisses se serrèrent l’une contre l’autre. Elle les fit battre plusieurs fois pendant son orgasme ou bien était-ce une manière de prolonger celui-ci. Quelle merveilleuse perception de plénitude, quel bonheur de se sentir remplie ! Elle avait fermé ses paupières, n’écoutant plus que ses propres cris alliés à ceux des deux lesbiennes qui prenaient leur pied. Quand elle les rouvrit, les deux femmes n’étaient plus là, la carotte avait glissé sur la moquette et elle avait froid. Il ne lui restait plus qu’à aller se recoucher. Au moment de ...
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