Le papillon s'envole
Datte: 24/08/2017,
Catégories:
2couples,
hplusag,
fplusag,
cocus,
vengeance,
Oral
69,
pénétratio,
hsodo,
échange,
confession,
entrecoup,
... attentif devant l’écran, sont des aphrodisiaques parfaits. Oh ! Non ! Pas déjà. N’arrête pas. Ne me laisse pas ainsi, en lévitation entre paradis et purgatoire. Armelle me quitte. Elle bouge. Elle monte sur le lit. Et puis ses cuisses et son pubis deviennent mon horizon alors qu’elle se penche dans un 69 de femmes. Ahhhh. Oui, elle reprend ses caresses. Je m’ouvre encore plus. Sa fente se plaque sur mon visage. Je bouge pour mieux la recevoir. Elle aussi est humide. C’est si facile ! Si naturel ! Les yeux fermés, je connais tout. Son clito est plus gros que le mien. Enfin de ce que je peux imaginer. Ses petites lèvres plus épaisses. Sa fente bien grasse. Je me souviens que Max l’a léchée avant de se faire pomper. Juste équilibre des choses. Désolée, mon Chéri, mais tu ne peux pas entendre ma jouissance, sauf peut-être un grondement atténué par les chairs qui m’enveloppent. Si tu avais été dans la chambre, peut-être ! Tant pis pour toi. >Mais tu dois voir ce qui se frotte à ma chatte. Tu connais ce genre de chose ? Tu sais, ce que les hommes ont entre les cuisses, et qui pour d’obscures raisons peut se gonfler pour devenir, dur, raide, allongé et que vous n’avez de cesse de mettre au chaud, dans une bouche, dans une chatte, dans un petit cul. Manifestement Julien n’est pas insensible au spectacle. Il frotte son gland sur ma fente et comme par moment je ne le sens plus, je l’imagine profiter de la bouche de sa femme pour se faire sucer un peu. Désolée Max ! Si tu veux voir la ...
... suite, il va falloir venir nous rejoindre. Le peu que je puisse deviner de la chambre me laisse apercevoir que Julien obstrue la caméra. Rien ne semble se passer si ce n’est que chaque fois que la bite se frotte à ma fente, la pression est plus forte et qu’elle m’ouvre un peu avant de retourner dans la bouche aux bruits humides. Et puis, soudainement Armelle bouge. Elle se redresse me dégageant partiellement l’horizon. Assez pour que je voie une silhouette vers la porte. Une silhouette qui avance… — Tu arrives juste à temps… dit Julien, qui cette fois-ci commence à pousser sa bite si fort qu’elle entre en moi. Armelle saute du lit et va vers mon mari. Elle le prend par la main pour le faire approcher. La bite avance, avance… Max avance aussi, guidé par celle qui s’est évertuée de la plus douce des façons à me conduire au plaisir et fournir à mon mari un spectacle qu’il a dû apprécier. Il a apprécié, si j’en juge par sa queue en érection et que la salope s’approprie déjà en la caressant. — Regarde, dit celui qui me possède déjà et qui commence à bouger, lentement, lentement, faisant entrer et sortir son mandrin afin que mon mari puisse en profiter. Il est si près maintenant qu’il pourrait presque me toucher. Mon Chéri, que vas-tu faire ? Oui, tu es excité par ce que tu as vu ! Si je suis dans cette position, c’est par ta faute. Mais une faute que je te pardonne, car elle m’ouvre des horizons particuliers.Tu sais, c’est bon de se faire prendre ainsi. D’accord cet homme m’a déjà ...