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Le papillon s'envole
Datte: 24/08/2017, Catégories: 2couples, hplusag, fplusag, cocus, vengeance, Oral 69, pénétratio, hsodo, échange, confession, entrecoup,
Résumé de l’épisode précédent : «Réveillon » Martine et Max sont tombés dans un piège lors du réveillon de Nouvel An. Surtout Martine à qui son cavalier a fait croire que son mari était dans la chambre à côté avec sa propre femme. Ce qu’elle entendait était en réalité un fichier son, tout à fait réaliste et manifestement prévu pour la berner. Elle a cédé à l’homme, pensant se venger. Pendant ce temps, Max était lui aussi tombé dans le piège, cependant plus classique, de la femme qui s’offre. Les jours qui ont suivi m’ont paru bien étranges. Je ne cessais d’osciller entre colère et culpabilité. Colère d’avoir été si crédule. De m’être fait mener par le bout du nez par cet homme. D’avoir cédé si facilement. Culpabilité d’avoir trompé mon mari, mais elle a assez vite disparu lorsque nous avons convenus que lui et moi avions des excuses et que cela ne remettait pas en cause notre couple. Non, la culpabilité d’avoir éprouvé du plaisir. Un plaisir intense, que je n’avais plus éprouvé depuis longtemps, alors que Max et moi faisions tout pour que notre sexualité soit toujours forte. Je ne cessais de lier cette jouissance à la situation particulière. Un amant ! Le premier en trente années de mariage. Peut-être aussi que j’étais excitée par tous ces cris et gémissements de la pute derrière cette cloison, même si je pensais que c’était mon mari qui la besognait. Je ne peux ignorer la force de la suggestion et la puissance érotique d’un inconscient pourtant bien habitué à des mises en ...
... scène que nous utilisions, Max et moi, pour exalter un peu nos baises. D’ailleurs je pense que je ne suis pas la seule à être perturbée. Je sens bien que mon mari est comme moi. Mais que pouvons-nous y faire ? Oublier, c’est le mieux ! Oui, à condition que rien ne vienne perturber notre « cicatrisation ». — Tu ne devineras jamais qui m’a appelée cet après-midi ! dis-je à mon mari en rentrant du boulot.— Julien.— Comment tu sais ?— Sa femme m’a appelé.— Armelle ? Et que voulait-elle ?— Qu’on se revoie. Et toi ?— Pareil. Imagine-toi que je lui ai laissé un souvenir mémorable… Mais que c’était trop court… Qu’il avait apprécié à sa juste valeur le spectacle qu’on leur avait donné… Etc., Etc.— Elle m’a fait le même baratin.— Tu lui as dit quoi ?— Que les circonstances étaient exceptionnelles. Que j’avais apprécié, mais que j’étais fidèle et que j’apprécierais que si nous nous revoyions chez des amis communs, on fasse profil bas. Et toi ?— Un peu pareil, sauf que je lui ai fait comprendre qu’on pouvait être fidèle et heureuse en amour. Que tu étais mon mari, mais aussi un amant extraordinaire ! Que je t’avais pardonné ce faux pas ! Que notre sexualité n’avait rien de « pépère » et qu’on pourrait certainement leur en apprendre sur la façon d’atteindre le plaisir.— Waouh !— Je n’ai pas apprécié qu’il dise qu’avec lui je pourrais avoir des sensations différentes… Enfin tu vois…— En tout cas, merci pour cet « amant extraordinaire ».— C’est la vérité.— Je sais, mais cela fait toujours ...