-
Le papillon s'envole
Datte: 24/08/2017, Catégories: 2couples, hplusag, fplusag, cocus, vengeance, Oral 69, pénétratio, hsodo, échange, confession, entrecoup,
... m’enlace toujours comme si j’étais devenue sa chose. À moins que ce soit pour ne pas troubler ce que sa femme fait. Une Armelle qui jusque-là a été spectatrice et qui veut manifestement sa « part du gâteau ». Elle commence par nettoyer la queue de mon mari. Enfin ce qu’il n’a pas laissé dans ma bouche et que j’ai avalé sans réfléchir. Elle aussi sait comment se mettre en scène. Elle s’arrange pour pomper mon mari sous mes yeux. Elle s’arrange pour me montrer qu’il ne lui faut pas longtemps pour qu’il rebande. Eh bien, mon Chéri, si je ne me trompe, cela fait trois fois. Une fois dans la gorge de ta maîtresse. Une fois dans la gorge de ta femme et tu repars avec juste quelques caresses. Si j’avais besoin d’une preuve comme quoi la situation te plaît et t’excite, elle est bien sous mes yeux. Armelle s’allonge juste à côté de nous, jambes pendantes et cuisses ouvertes en attente de la saillie. Chienne tu es, jusque dans le regard de provocation que tu me jettes ! Max ne se pose pas de question. Il bande et une salope lui ouvre les cuisses. Il se place. Au bord du lit, il glisse ses cuisses sous celle de la femme, la montant vers lui, soulevant le bassin, amenant le pubis et son secret au bon niveau. Il pousse à peine que déjà il est entré. La salope doit être encore humide de son cunni de tout à l’heure et excitée par tout ce qu’elle a vu et organisé. Il entre comme on glisse un doigt dans un pot de crème. J’entends déjà le bruit du jus que la queue brasse dès qu’il commence ...
... ses mouvements. Nous assistons à cette baise juste à côté de nous. Julien n’est pas indifférent de ce spectacle. Pourtant il a dû en voir des mecs bourrer son épouse. J’en suis persuadée maintenant. Ce n’est pas qu’un couple moderne qui s’accorde quelques écarts pour épicer sa vie sexuelle. Ce sont des révélateurs, des éducateurs, des chasseurs qui se donnent toutes les chances de se « payer » d’autres partenaires. Des prédateurs. Il bande. Je sens sa bite qui n’avait pas totalement ramolli et encore assez dure pour rester en moi, se tendre et m’envahir de nouveau. Il bouge doucement pour me faire sentir sa vigueur. J’apprécie. Mais j’apprécie aussi ce que Max me montre. Il possède la femelle. Les muscles de ses fesses roulent sous la peau. Des fesses douces, soyeuses, étrangement « pouponnes », comme celle des enfants. — Je vais te prendre par ton petit trou. J’ai entendu l’autre matin comme tu demandais à Max de t’enculer. Julien me susurre à l’oreille comme si ce qu’il propose devait rester un secret. Je vais lui répondre et puis une idée ! Idée parfaitement perverse qui ne me serait jamais venue si deux pensées ne s’étaient rencontrées et mélangées dans ma tête de femme décidément bien plus salope que je ne pensais. C’est à mon tour de susurrer dans l’oreille de mon amant. Il m’écoute. Se demande s’il a bien compris. Doit penser que décidément ce couple est bien plus libre qu’il ne pensait. Max remarque à peine que nous nous levons du lit. Son envie de labourer Armelle ...